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First girlfriend

Valérie Trierweiler ne veut pas du mot "Première dame"

La compagne de François Hollande a assuré ce matin sur France Inter chercher une nouvelle expression pour définir sa fonction.

"Désuet." C'est ainsi que Valérie Trierweiler qualifie le titre de "Première dame" dans une interview enregistrée mercredi à son domicile parisien et diffusée ce jeudi par France Inter. "Ce n’est pas que je n’aime pas", se défend la compagne de François Hollande. Mais "comme je souhaite un petit peu changer les choses, je trouve qu’il faudrait renouveler ce terme".

A-t-elle une idée pour remplacer l’expression "Première dame"? "Non, pas encore", répond-elle. Elle révèle recevoir des propositions des Français qui lui écrivent pour cette nouvelle appellation : "L’atout cœur de France, première journaliste..."

"La pression est retombée, aujourd’hui c’est autre chose qui commence, il faut s’installer dans ce rôle", ajoute-t-elle. "Il n’y a pas de statut de première dame, tout est à définir, c’est un rôle avant tout de bénévolat au service des Français, je suis prête à assumer ce rôle-là."

Valérie Trierweiler souligne notamment avoir rencontré "les dirigeants de la Fondation Danielle Mitterrand", ONG créée en 1986 et tournée notamment vers la fourniture d’eau potable aux pays en développement. Elle est "aujourd’hui en danger. Si elle ne reçoit pas d’aides financières elle risque de péricliter, pour moi c’est un devoir de l’aider".

Interrogée sur son tempérament parfois ressenti comme "cassant", Valérie Trierweiler balaie des critiques. "Dès qu'une femme a un petit peu de caractère. Oh la la mais qu'elle fait peur ! On est dans l'ordre du fantasme", tranche la compagne de François Hollande, qui revendique "une  forme de normalité"

Après 22 ans de collaboration à Paris Match, elle continuera à écrire pour la rubrique culture de l'hebdomadaire. "C'est mon métier, c'est vital pour moi. Je tiens à mon indépendance financière." "Quand vous dites aux Français que vous ne voulez pas vivre aux frais de l’État et que vous ne voulez pas être dépendante financièrement d'un homme, tout le monde le comprend."

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