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Humour corrosif

Nicolas Bedos à Hollande : "les gonzesses, ça c'est nos attributions"

Dans sa dernière chronique sur le plateau de Laurent Ruquier, l’humoriste est revenu à sa façon sur le "Closergate".

Depuis sa chronique à l’encontre de Dieudonné, Nicolas Bedos est particulièrement sous le feu des projecteurs. Il a notamment reçu des menaces de mort. Mais cela n’empêche pas l’humoriste de se présenter une nouvelle fois sur le plateau d’On n’est pas couché. Ainsi, ce samedi, accompagné de trois représentants du culte juif, Nicolas Bedos, après être revenu sur cette fameuse chronique contre Dieudonné, a évoqué à sa manière le Closergate et toutes les conséquences qui en ont découlées. "Si je suis rentré en France (il a fait un pseudo exil en Israël suite à ses propos contre Dieudonné, ndlr), c'est que je suis bien décidé à récupérer mon harem de cochonnes parisiennes. Notamment quelques actrices dans lesquelles François Hollande a osé s'introduire" a-t-il osé.

Et de continuer : "Cher François, que ce soit bien clair, l'Elysée c'est à toi, le jardin, la Lanterne, le Fort de Brégançon, Trierweiler, toutes ces vieilleries on te les offre ! Mais alors, les gonzesses, ça c'est nos attributions. En plus c'est nouveau, on t'a jamais vu nous aux réunions des infidèles célèbres ! Tu portais un casque ?" L’humoriste ne s’arrête pas en si bon chemin dans l’audace : "François, t'arrives bidoche au vent, la cravate de travers, la lunette embuée, le cure-dent dans la main. Franchement, avec le tronche que t'as, si c'est pas de l'abus de pouvoir..."

Puis, l’acteur s’est adressé à Julie Gayet : "Julie, mon amie, sors de là immédiatement, tu es tombée dans un traquenard, les hommes politiques c'est le sida des vedettes". Et Nicolas Bedos de conclure en implorant implore Julie Gayet de lui passer un coup de fil.

Lu sur PurePeople

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