Le complotiste Alex Jones se déclare en faillite après une amende de 1,5 milliard de dollars<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Justice
Crédits Photo: Capture d'écran DR
Le complotiste Alex Jones a été condamné à verser 1,5 milliard de dollars après avoir nié un massacre dans une école aux Etats-Unis.

Free speech

Le complotiste Alex Jones se déclare en faillite après une amende de 1,5 milliard de dollars

Alex Jones a été condamné à verser près de 1,5 milliard de dollars après avoir nié un massacre dans une école. Il s'est déclaré en faillite personnelle, selon des documents judiciaires consultés par l'AFP.

Le complotiste Alex Jones a été condamné à verser 1,5 milliard de dollars après avoir nié un massacre dans une école aux Etats-Unis. Face à cette situation, il a décidé de se déclarer en faillite personnelle.

Alex Jones a transmis une requête en ce sens à un tribunal des faillites situé au Texas. Si la justice valide sa requête, la procédure gèlera ses actifs et empêchera leur saisie.

En 2012, un jeune homme armé d'un fusil semi-automatique avait tué 20 enfants et six adultes dans l'école Sandy Hook de Newton, dans le Connecticut.

Alex Jones avait affirmé sur son site Infowars que le massacre n'était qu'une mise en scène pilotée par des opposants aux armes à feu.

Plusieurs proches des victimes avaient porté plainte pour diffamation.

Alex Jones avait finalement admis publiquement la réalité de la tuerie mais a été condamné, à l'issue de deux procès, à verser près de 1,5 milliard de dollars d'amendes ou de dommages-intérêts.

Banni de Twitter, mais toujours présent avec InfoWars, Alex Jones a interviewé cette semaine Kanye West. Le rappeur s'est livré à une apologie d'Adolf Hitler dans cette émission.

Euronews

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !