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DSK : mort d’un complot
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Revue de presse des hebdos

Scoop et re-scoop ! Cinq jours après les “ révélations ” d’Edward Epstein, on apprend 1) que le journaliste américain travaillait sur la base de renseignements fournis par les avocats de DSK, 2) que les écoutes visant l’ancien patron du FMI auraient dû servir après son élection aux primaires. Finie, la théorie du complot ?

Barbara Lambert

Barbara Lambert

Barbara Lambert a goûté à l'édition et enseigné la littérature anglaise et américaine avant de devenir journaliste à "Livres Hebdo". Elle est aujourd'hui responsable des rubriques société/idées d'Atlantico.fr.

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Samedi 26 novembre, le Net a tremblé. On ne sait pas vous, mais, perso, on a eu du mal à décrocher de Twitter… un peu comme le 14 mai dernier. C’est qu’il nous a bien secoué, Edward Epstein, avec son enquête et ses questions sans réponse pointant en direction d’un “ complot ” ou d’un “ piège ” dans lequel DSK serait tombé. Accroché à notre ordi tout le week-end, quelque chose, en même temps, nous titillait. Il y a quinze jours, en effet — nous nous en étions alors fait l’écho (voir la revue de presse du 17 novembre) — “ Le Nouvel Observateur ”, dans un papier sur l’affaire Carlton, nous révélait que DSK était sur écoute, qu’il en avait été informé par le commissaire Lagarde, et qu’il avait donc, peut-être, été victime d’un complot. Et personne ne s’en était — alors — ému outre mesure. Sacrés emballements médiatiques — imprévisibles, surprenants… déroutants. Fruits du hasard ? Faut voir.

Epstein : “ Quelqu’un épiait DSK et attendait qu’il fasse une erreur ”

Signe de la folie qui, samedi, donc, s’est emparée des médias, mis à part “ L’Express ” ( ? ?), tous vos journaux sans exception reviennent sur l’enquête publiée par Epstein dans la “ New York Review of Books ”. “ VSD ” publie même une interview du journaliste qui, pour tout dire, nous a un peu laissé sur notre faim. “ Vous pensez que quelqu’un pistait DSK pour lui nuire. Vous citez l’UMP ”, souligne le news. —“ Ce que je pense, répond Epstein, c’est que DSK était sous surveillance le 14 mai. Quelqu’un épiait ses mouvements et attendait qu’il fasse une erreur, probablement depuis longtemps. Mais son BlackBerry du FMI, qui aurait contenu des preuves de cette surveillance, a disparu. Je ne peux donc rien prouver ”. —“ Vous avez confié au “ Journal du dimanche ” que deux hauts responsables d’Accor se sont échangé vingt-six textos en quatre minutes, entre 12 h 21 et 12 h 25. Alors que DSK n’est même pas sorti du Sofitel et que Diallo n’a prévenu personne. C’est un apport fracassant à la théorie du complot, et vous n’en faites pas mention dans l’enquête ? ”, le relance le mag. “ Mes propos ont été faussement retranscrits. Si j’avais découvert ça, ç’aurait été dans l’article. La connexion n’était pas bonne, la journaliste ne parlait pas un très bon anglais (Elle est mariée à un Américain et a vécu plus de dix ans aux Etats-Unis, ndlr). Ce qui s’est vraiment passé, c’est que, entre 10 h 21 et 10 h 35, Brian Yearwood, chef des services techniques de l’hôtel, et John Sheehan, directeur de la sécurité, se sont échangé treize textos, et ce, sept minutes après que DSK a appelé sa femme Anne Sinclair. Pendant ce temps, Nafissatou Diallo a utilisé deux fois sa carte magnétique pour entrer dans la chambre 2820. Des coïncidences troublantes ”. —“ Ces textos, envoyés le matin, renforcent l’idée sinon d’un coup monté, au moins d’une surveillance, insiste “ VSD ”. Pourquoi ne pas en parler dans votre article ? ” —“ Les avocats de la “ New York Review of Books ” ont relu mon texte attentivement. Le paragraphe sur la coïncidence temporelle tombait pour eux sous le coup d’une loi américaine, l’ “ implied label ”. Même si je ne faisais que mentionner des faits troublants sans les lier, j’étais coupable d’ “ insinuations ”. Le paragraphe a donc été retiré ”. Forcément, ça aide pas, Ed.

“ Accor n’a qu’à montrer la vidéo au JT français ”

—“ Accor jure que la danse entre Yearwood et un inconnu n’a duré que huit secondes ” —“ Accor a menti en disant que ces vidéos n’existaient pas. Maintenant, on prétend que la danse victorieuse ne dure que huit secondes. Je maintiens qu’elle a duré entre deux et quatre minutes. Et puis, une minute ou une heure, quelle importance ? ” —“ Pour certains, ça en a beaucoup… ” —“ Accor n’a qu’à montrer l’enregistrement au JT français ”. —“ Avez-vous une copie de cette vidéo ? ” —“ Non ”. —“ Comment vous l’êtes-vous procurée ? ” —“ Ces images sont des documents de justice. Elles ne sont pas secrètes mais sont protégées. Une des parties de cette affaire m’a montré la vidéo, je ne peux vous en dire plus ”. —“ Pourquoi la justice n’a-t-elle pas fait mention de cette danse durant l’enquête ? ” —“ Je n’ai pas la réponse. Plusieurs personnes en ont connaissance dans le milieu de la justice, dont celles qui m’ont montré la vidéo ”. —“ Accor affirme aussi que le client de la chambre 2820, dont l’identité n’a pas été révélée, est parti à 11h 36 ”. —“ Quelqu’un est sorti de la chambre à 11 h 36, mais ça ne veut pas dire qu’il n’y avait plus personne à l’intérieur ”. Bon, ben, si vous y voyez plus clair…

L’occupant de la chambre 2820 était un homme d’affaires français

Incrédule, “ Le Point ” ? Le journal de Franz-Olivier Giesbert a, en vérité, des doutes quant à la réalité d’un complot. Sur les deux derniers points soulevés par Epstein — la “ danse de joie ” et l’occupant de la chambre 2820 —, le magazine apporte ces précisions : “ La direction du Sofitel, dit-il, a répondu à Edward Epstein. Oui, la chambre 2820 était occupée, son client, un homme d’affaires français, l’a quittée, Nafissatou Diallo l’a nettoyée. Routinier. (…) La direction promet par ailleurs qu’elle diffusera prochainement la vidéo montrant ces deux employés triomphants ”.

“ Le Point ” et la théorie du “ complot adverse ”

Mais les “ doutes ” du magazine ne portent pas seulement sur les faits mentionnés par le journaliste américain. “ Les ultimes fidèles de Dominique Strauss-Kahn, écrit-il, veulent voir dans l’article d’Edward Epstein les preuves de l’innocence de leur héros, abattu par un piège odieux. Pourtant, aux amateurs de complot anti-DSK, on pourrait aujourd’hui opposer un complot adverse. Est-ce un hasard si ces “ révélations ” se font connaître en cette fin novembre, soit exactement sept jours avant la publication du nouveau livre de Michel Taubmann, “ Affaire DSK : la contre-enquête (éditions du Moment) ? Ne faudrait-il pas plutôt y voir une habile campagne promotionnelle consistant à instiller quelques doutes dans la presse afin que des acheteurs nombreux acquièrent ce livre dans lequel, pour la première fois, l’ancien patron du FMI devrait donner sa version de ce qui se passa dans la suite 2806 ? (…) Est-ce un hasard si le journaliste Epstein est l’ami proche d’un cousin de Taubmann ? Un hasard encore si Michel Taubmann, le biographe pro-DSK, a, l’été dernier, présenté Epstein comme un “ ami ” ? On le voit, le complot est une matière malléable ”.

Epstein et Taubmann ont travaillé ensemble avec l’aide des avocats et des détectives de Strauss-Kahn

Hasard ? “ Le Nouvel Observateur ” consacre ce jeudi sa rubrique “ L’homme de la semaine ” à… Michel Taubmann, et cela, précisément, parce qu’il s’apprête à publier sa “ Contre-enquête ”. D’après le journal, le scoop d’Epstein, effectivement proche de Taubmann, loin de servir le “ fidèle ” biographe, déjà pas mal ébranlé par l’affaire Carlton, lui mettrait plutôt des bâtons dans les roues. “ (Le livre), riche d’éléments inédits, d’entretiens exclusifs avec DSK, jette de sérieux doutes sur la tragédie de New York, note “ L’Obs ”. Mais les révélations sur les parties fines du grand homme, et son incroyable légèreté dans l’affaire du Carlton, rendent la thèse du complot quasi inaudible. Pour Taubmann, le chemin de croix continue, d’autant plus que la plupart de ses billes ont été dévoilées, le week-end dernier, par Edward Jay Epstein. Le “ journaliste d’investigation ” n’est autre que le complice américain du biographe. Les deux hommes ont été mis en relation par le grand oncle de Michel, Alfred Taubmann, un entrepreneur à succès, ex-président de Sotheby’s, aujourd’hui richissime et généreux philanthrope. Ce dernier pensait que son vieil ami Epstein, qui a tant aimé revisiter — sous un prisme légèrement complotiste — de grandes affaires comme l’assassinat de Kennedy ou le 11-Septembre, collaborerait avec le neveu frenchie. Les duettistes ont travaillé avec l’aide des avocats et des détectives de Strauss-Kahn. Leur thèse du piège repose sur les mêmes éléments : le portable du FMI contenant des informations cruciales, notamment sur la dette grecque, mystérieusement perdu ; les allers-retours suspects de Nafissatou Diallo dans la chambre voisine de DSK avant les six minutes fatales ; son entrée, seule, dans la suite, contre le règlement ; l’étrange comportement des responsables du Sofitel ”. Doublé par Epstein, Taubmann ? Leurs sources, en tout cas, proviennent du clan DSK.

“ LA ” scène racontée par DSK

Entre le travail d’Epstein et celui de Taubmann, des différences, pourtant, apparaissent. A commencer par le témoignage de DSK, recueilli par le Français. “ L’ancien journaliste ne prétend plus à l’objectivité, constate “ L’Obs ”. (…) Le soir du second tour des primaires, le biographe s’est rendu, avec son épouse, chez les Strauss-Kahn, place des Vosges. Il a vu un homme à terre, et une épouse “ sublime ”, en larmes devant l’image du prochain candidat socialiste. (…) Michel Taubmann n’a pas cru bon d’aller interroger Mme Diallo ni même ses avocats, mais il recueille dans son ouvrage “ LA ” scène avec la femme de chambre, telle que le lui a raconté “ Dominique ”. Nafissatou le surprenant au sortir de la douche, lui voyant dans “ son regard insistant ” une invitation à une gâterie express… Michel Taubmann a écarquillé les yeux mais n’a pas jugé. “ Cessons de confondre la loi et la morale, répète-t-il. Etre léger et libertin ne constitue pas un crime. On peut tromper sa femme et être un grand chef d’Etat ” ”.

DSK prévenu par Lagarde, pas par “ la stagiaire de l’UMP ”

Autres différences avec l’enquête d’Epstein, soulignées par “ L’Obs ” : “ Michel Taubmann, lui, n’évoque pas la fameuse “ danse de joie ” des deux employés de l’hôtel, mais il a visionné une vidéo montrant la femme de chambre, une demi-heure après les faits, “ incroyablement décontractée ”. Il en conclut :“ La scène racontée par Mme Diallo est invraisemblable. Elle n’a pas eu lieu ”. Par ailleurs, d’après lui, ce n’est pas une amie de DSK, temporairement embauchée à l’UMP, qui l’a prévenu que sa messagerie a été piratée, avec certains mails transmis aux plus hauts dirigeants du parti de Sarkozy, mais le commissaire lillois Jean-Christophe Lagarde, avec qui il avait dîné deux jours avant son arrestation ”.

Parties fines : la DCRI savait, donc forcément l’Elysée

Formidable coïncidence : il y a quinze jours, “ Le Nouvel Obs ” disait exactement la même chose que Michel Taubmann — à une différence près : ce n’est pas au cours d’un dîner, mais d’un déjeuner “ au FMI (organisé) jeudi 12 mai, (que le commissaire Lagarde), entre hommes, (a informé) DSK qu’à la DCRI une cellule (était) mobilisée sur son cas, qu’il (était) sur écoute, que sa messagerie (était) surveillée ” (voir la revue de presse du 17 novembre). Etrange retour à notre point de départ… sur lequel embraye “ Le Point ” cette semaine, avec, si on peut se permettre, quinze jours de retard. “ Rien ne permet aujourd’hui d’établir qu’une embuscade ait été tendue à Dominique Strauss-Kahn au Sofitel. Trop risqué, mal foutu, remarque le news. Ceux qui voulaient empêcher le patron du FMI de rivaliser avec Nicolas Sarkozy avaient, en mai déjà, de bien meilleures cartes en poche. Des cartes françaises, solides. Selon nos informations, au printemps, les services du renseignement intérieur savent que le probable candidat du PS s’amuse dans des parties échangistes, légales, organisées par des amis nordistes. Les policiers de la PJ de Lille ont été mis sur cette piste par un informateur secret très bien renseigné… Ils enquêtent. Abasourdis par le contenu des écoutes judiciaires, ils en avertissent leurs supérieurs, qui feront remonter l’information. (…) La DCRI pouvait-elle ne pas prévenir l’Elysée — qui n’aurait alors eu qu’à laisser la justice mener son enquête et nourrir ainsi cet explosif dossier ? ”

Les écoutes auraient dû servir après la victoire de DSK aux primaires

Bon alors, complot ? Hé ben non : pas complot !, objecte “ Le Point ”. “ Si Dominique Strauss-Kahn ne s’était point rendu coupable d’une “ faute morale ” au Sofitel, s’il avait remporté les primaires du PS, l’affaire du Carlton — ces parties libertines — auraient opportunément surgi cet hiver. Ces rencontres sexuelles tarifées auraient vraisemblablement heurté l’opinion, habituée à des mœurs plus contenues. Et, du coup, quel calendrier rêvé : en plein vol, DSK stoppé net, brisé, empêché. Le PS n’a plus de candidat, Sarkozy avance sur une route présidentielle libérée d’un redoutable adversaire… ” Pas de complot, donc, à en croire “ Le Point ”, en ce qui concerne l’affaire du Sofitel. Pour celle du Carlton, c’est un peu plus obscur…

L’audition “ Carlton ” imminente

Mais peut-être Dominique Strauss-Kahn s’exprimera-t-il bientôt lui-même sur le sujet… On l’apprend, en effet, grâce à “ VSD ” : Anne Sinclair et son mari sont rentrés de Tel Aviv et ont dîné le 26 novembre, à Paris, “ en tête à tête pour célébrer leur vingt ans de mariage ”. Le news nous informe également que “ l’audition de DSK, que celui-ci réclame depuis plusieurs semaines, semble imminente dans ce dossier explosif. Un interrogatoire envisagé sous le régime de la garde à vue et qui pourrait se dérouler dans un lieu moins voyant (type caserne de gendarmerie) que les locaux de la police des polices au ministère de l’Intérieur ou ceux de la PJ de Lille ”. Ah, ben, au moins, on sait de quoi on va vous parler la semaine prochaine. Et ça fait juste six mois que ça dure. Ah, ah !

A lire, encore

On voulait vous parler de l’euro — encore raté, caramba ! On vous renvoie, du coup, à l’article du “ Point ”, “ Euro, le moment de vérité ”, clair, efficace — inquiétant, forcément, mais autrement éclairant que le dossier “ Crise : l’engrenage ” de “ L’Express ”, sensationnalo-flippant.

Si vous avez le temps, ce n’est pas sans lien, jetez un oeil au papier de “ Télérama ” sur “ Le succès des monnaies alternatives, comme le sol à Toulouse, qui visent à instaurer un système monétaire complémentaire et parallèle plus juste, sans valeur spéculative ”. Mine de rien, ça fait réfléchir.

Et puisqu’il est question d’argent, et puisque le gouvernement s’est mis en tête de faire la chasse aux fraudeurs, “ Le Nouvel Obs ” se penche cette semaine, et en détail, sur “ L’autre affaire Bettencourt ”, on veut parler des millions que Liliane Bettencourt a tranquillement et, pendant 15 ans, cachés au fisc.

Au chapitre “ curiosités ”, on a été un peu surpris par la chronique de Patrick Besson sur Eva Joly, qui commence ainsi : “ Zalut la Vranze ! Auchourt’hui est un krand chour : fous m’afez élue brézidente te la République vranzaise. Envin un acde intellichent te ce beuble qui a vait dant de pêdises tans son hisdoire, sans barler éfitemment te doudes les vois où il a bollué l’admosphère montiale afec tes essais nugléaires ”… Ca dure comme ça une page et c’est drôle : à la fin, ce n’est plus drôle du tout.

Rayon “ petits règlements de compte entre amis ”, Laurent Joffrin répond dans son édito aux reproches que “ Libération ” et “ Marianne ” ont adressé au “ Nouvel Observateur ” concernant son traitement de l’affaire du Carlton. “ Dans “ Libération ”, écrit-il, un chroniqueur aigri, Daniel Schneidermann, déversa son fiel. Malheureusement, la seule information nouvelle contenue dans son texte était fausse. (…) Il apparaît ainsi que celui qui administre chaque semaine des leçons de journalisme n’en maîtrise pas les rudiments. Quant à “ Marianne ”, Joseph Macé-Scaron y alla de son numéro de tartuffe solennel. Publié à son de trompe, son article moralisant est biaisé, méchant et confus. Au moins est-on sûr, cette fois, qu’il l’a écrit lui-même ”. Wow !

Trois brèves : d’après un sondage TNS-Sofres pour “ Le nouvel Observateur ” et I>Télé, François Hollande remporterait 31 % des voix au premier tour de la présidentielle et Nicolas Sarkozy 28 %, ce qui veut dire que l’écart se resserre. Au deuxième tour, Hollande battrait Sarkozy à 60 % contre 40 %

“ Nathalie Mercier, ex d’Euro RSCG, et directrice de la communication du musée du Quai Branly depuis 2005 joue, à titre bénévole, les intermédiaires entre la presse et Valérie Trierweiler ” (“ L’Express ”). 

Pour compenser l’arrêt de son émission “ Vendredi sur un plateau ” sur France 3, Cyril Viguier a reçu la commande de la production d’un portrait-documentaire sur François Hollande (“ Le Point ”).

En vrac, sinon : “ Aubry-Hollande : deuxième round ”, “ Mohamed VI face à la vague islamiste ” et “ Polanski plus fort que les bobos ” sur le nouveau film du réalisateur, dans les salles le 7 décembre (“ Le Point ”) ; “ Dans la cuisine de Standard & Poor’s ” et “ Le choc des deux Egypte ” (“ Le Nouvel Obs ”) ; “ La chasse aux fraudeurs manque de munitions ” (“ Challenges ”) ; “ Le mystère Bayrou ”, l’interview d’Alain Juppé “ J’ai passé l’âge des plans de carrière ”, “ Syrie : voyage en barbarie ”, “ Ai Weiwei : l’art de défier Pékin ” et “ Espagne : tout sur leurs mères ” sur le trafic d’enfants vendus à des familles bourgeoises dans les années 80 (“ L’Express ”) ; “ Le socialisme est-il soluble dans la crise ? ” et “ Amy pour la vie ” autour du lancement de l’album posthume de la chanteuse (“ Les Inrocks ”).

Côté dossiers, enfin, sorti des spéciaux “ high tech ” de “ Challenges ” et des “ Inrocks ”, “ L’Obs ” et “ Le Point ” donnent cette semaine dans le champagne. Un peu de bulles, de pétillance et d’ivresse, on en avait bien besoin.

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