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Cahuzac : les secrets de l’affaire, François : vrai ou faux pape des pauvres, Carla : la preuve que "le pingouin" est bien Hollande
©Capture d'écran

Revue de presse des hebdos

Mais aussi l’étrange émergence de “ deux France, l'une optimiste, l'autre dépressive ” qui explique l’élection de François Hollande… Beaucoup de grain à moudre, ce jeudi, dans la RP des hebdos !

Barbara Lambert

Barbara Lambert

Barbara Lambert a goûté à l'édition et enseigné la littérature anglaise et américaine avant de devenir journaliste à "Livres Hebdo". Elle est aujourd'hui responsable des rubriques société/idées d'Atlantico.fr.

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Drôle de coïncidence… Au lendemain de la démission de Jérôme Cahuzac, “ Les Inrocks ” célèbrent le 5e anniversaire de Mediapart et “ la morale du boxeur ” de son créateur, Edwy Plenel. “ Je ne comprendrai jamais comment on peut exiger “ des preuves ! des preuves ! ”, écrit Frédéric Bonnaud dans son édito, alors que sur le fameux enregistrement, on entend Cahuzac lui-même dire en substance que “ ça le fait chier d’avoir un compte en Suisse et que l’UBS n’est quand même pas la plus discrète des banques… ” C’est lui qui le dit et il ne conteste même pas l’authenticité de cet enregistrement ! (…) Il semblerait que la justice aussi soit arrivée à la conclusion que la bande n’a pas été manipulée. Alors ? Alors, ça ne suffit pas. Ca ne suffira jamais. En France, on considère que le journalisme, ça ne consiste pas à dévoiler aux citoyens les pratiques délictueuses de ceux qui sont censés les représenter et agir en leur nom. Ca, c’est bon pour les films américains ”. Enervé, remonté, le rédac chef des “ Inrocks ”… La démission du ministre (annoncée après le bouclage du magazine) aura-t-elle apaisé sa colère ? Peut-être, peut-être pas… après tout, hmmm ?

“ Les secrets de l’affaire Cahuzac ”

L’essentiel n’est pas là. Ce qui importe ici bien davantage, c’est le rôle que doit tenir la presse aujourd’hui. Si celui-ci consiste, comme l’écrit Bonnaud, “ à dévoiler aux citoyens les pratiques délictueuses de ceux qui sont censés les représenter et agir en leur nom ”, il ne doit peut-être pas non plus empiéter sur celui de la justice qui, dans cette affaire, s’est bizarrement retrouvée dans la position du “ recoupeur d’info ”… preuve que tout n’était pas forcément très clair… Dans le dossier qu’il consacre cette semaine aux “ secrets de l’affaire Cahuzac ”, “ Le Nouvel Obs ” revient justement sur la méthode un poil embrouillée employée par l’ex-inspecteur des impôts Rémy Garnier pour monter un rapport contre le ministre, coupable à ses yeux d’avoir “ empêché le redressement qui menaçait les emplois d’une coopérative du Lot-et-Garonne ” du temps où il en était député.

Le drôle de rapport de Garnier sur Cahuzac

“ “ Il a fait son boulot d’élu ”, concède le retraité du fisc qui, en revanche, a reproché à son administration de s’être couchée, raconte “ L’Obs ”. Résultat : Rémy Garnier a été “ dessaisi de tous ses dossiers ”. Un jour, tandis qu’il se morfond dans son “ placard ”, son avocat Michel Gonelle, lui dit que “ Cahuzac a un compte en Suisse ”. Alors, en 2007, Garnier tape le nom du député dans le serveur informatique auquel il a encore accès. Se fait aussitôt pincer. Se justifie, un an plus tard, devant le tribunal administratif, en dénonçant dans un rapport le compte helvète qu’il dit signalé par “ plusieurs sources ”. Mais aussi une maison à La Baule et une villa à Marrakech ”. C’est faux, il l’admet volontiers aujourd’hui. “ Mon informateur a confondu avec le riad de DSK, où est allé Cahuzac. Pour le reste, j’ai un peu chargé la barque parce que je devais démontrer que mes recherches présentaient un intérêt pour le Trésor public. Mon rapport (qui sera publié in extenso sur Mediapart, ndlr) n’était pas destiné à être diffusé ”. Il l’a au final bel et bien été, avec ses approximations et ses erreurs, et “ sur Mediapart ”, donc…

Tout commence quand Patricia Cahuzac engage un détective privé…

Mais venons-en à l’enquête de “ L’Obs ” proprement dite, et à ses “ révélations ” — qui, c’est à noter, arrivent en toute fin de papier, après trois pages de “ portrait ” plutôt flatteuses. “ C’est vraisemblablement à l’automne dernier que l’intrigue s’est nouée, écrit l’hebdo, lorsqu’un détective parisien, tout droit sorti d’un roman de Simenon, est descendu à Villeneuve-sur-Lot, le fief du député Jérôme Cahuzac. Alain Letellier, tout en rondeur, est alors en chasse pour le compte de Patricia, l’épouse du ministre, qui demande le divorce. Depuis des mois, les discussions achoppent sur l’appartement de l’avenue de Breteuil acheté par le couple, pour 6,2 millions de francs, en 1994. La dermatologue, qui exerce seule désormais, y a déménagé son “ centre de traitement de la calvitie ”. Dans le cadre du conflit, Letellier est chargé d’ “ établir la matérialité d’une relation extraconjugale ”. Planque, filatures, photos. En mars 2012, il remet un premier rapport à sa cliente. Et puis, au mois d’octobre, il retourne dans la petite ville du Sud-Ouest. Toujours pour “ vérifier des tuyaux d’ordre privé ”, assure-t-il, et “ non pour enquêter sur le patrimoine du ministre ” ”.

Le détective ne limite pas son enquête au domaine privé

“ Curieusement, pourtant, remarque le journal, c’est avec un retraité du fisc que le “ privé ” a rendez-vous : Rémy Garnier qui, en 2008, a rédigé un “ mémoire ” exalté, aussitôt tombé dans les oubliettes, où il compare l’administration fiscale à la “ mafia ”, accuse ses supérieurs de toutes les turpitudes et évoque, sans preuve, un compte ouvert en Suisse par Jérôme Cahuzac “ alors qu’il exerçait des activités au cabinet de Claude Evin ”. D’où tient-il ce scoop ? De son avocat, Michel Gonelle, troisième personnage de la tragicomédie qui se met en place en ce mois d’octobre, et digne, celui-là, des meilleurs Chabrol. Bâtonnier, franc-maçon, ex-député RPR, maire de Villeneuve-sur-Lot jusqu’à ce que Jérôme Cahuzac lui ravisse le fauteuil, et… détenteur — on le découvrira plus tard — du fameux enregistrement, conversation tombée par miracle, dit-il, dans sa messagerie ”.

Bucky, le chien du ministre, “ enlevé à une association d’aveugles ”

“ Le détective, l’ex-inspecteur des impôts, l’élu battu… Durant l’automne, reprend le mag, tout ce petit monde se croise, suppute, recoupe ses informations. Des plus explosives (Alain Letellier raconte que sa cliente lui a parlé d’un compte en Suisse “ dont elle ne connaît pas le numéro ”, précise-t-il aujourd’hui) aux plus anodines (le chiffre d’affaires de la société de conseil du député Cahuzac, disponible sur Infogreffe), en passant par les plus anecdotiques. Ainsi, Rémy Garnier possède une photo de Bucky, le chien du ministre, que le détective pense “ enlevé à une association d’aveugles ” (sic) ”.

Gonelle jure ne pas avoir communiqué l’enregistrement

“ Michel Gonelle jure qu’il s’est tenu à l’écart de toute cette agitation, indique “ L’Obs ”. “ Il y a longtemps que je ne suis plus en guerre contre Cahuzac. Je lui ai même écrit pour lui dire que j’approuvais le projet de loi de financement de la Sécurité sociale ”. (…) Le 5 décembre, pourtant, l’enregistrement, que le même Gonelle avait mis sous clé, atterrissait sur le site Mediapart en même temps que le rapport de Rémy Garnier, jusqu’alors “ confidentiel ”. Bientôt suivis par les e-mails personnels échangés entre le ministre et son ami Guy Carcassonne ou son expert-comptable, qui est aussi celui de son épouse ”. Alors, quoi ? Tout ne serait que le fruit de la vengeance de Patricia ?

Cahuzac poursuivi par des “ ennemis plus redoutables ”

“ “ Jérôme refuse d’imaginer que la mère de ses trois enfants y soit pour quelque chose ”, confie un ami du couple, qui n’exclut pas les coups d’autres ennemis “ plus redoutables ”. En octobre, l’appartement où le ministre s’était provisoirement installé, après avoir quitté l’avenue de Breteuil, n’a-t-il pas été cambriolé ?, se demande le news. Portes forcées au vérin hydraulique, travail de pro, a conclu la police. Et, en décembre, qui a piraté l’ancienne adresse e-mail de son frère, Antoine, créée du temps où il travaillait à Dubaï ? Sans parler de ce faux client qui s’est présenté l’année dernière, à la clinique pour proposer à Patricia Cahuzac “ des informations sur un prétendu compte à Singapour, contre 3000 ou 4000 euros ”. Depuis, Jérôme Cahuzac a aussi lu dans la presse que plusieurs équipes de détectives, l’une mandatée par un “ gros cabinet d’avocats ”, l’autre par un grand laboratoire pharmaceutique, lui auraient tourné autour… Des scénarios de films américains auxquels il ne semble pas croire lui-même ”. Ah, ça alors, revoilà les “ films américains ” dont parlait Frédéric Bonnaud dans son édito… on n’en sort pas, décidément. Force est de le constater : malgré les “ révélations ” de “ L’Obs ”, qui, après nous avoir aiguillé vers l’épouse, évoque des “ ennemis plus redoutables ”, on n’y voit pas beaucoup plus clair non plus.

François, le pape qui dépote

Claire, l’impression dégagée par le pape François ? Pour “ Le Point ”, ça ne fait pas un pli, en tout cas : “ Il n’y a plus à tortiller, s’exclame Franz-Olivier Giesbert dans son édito, l’ancien cardinal de Buenos Aires est bien l’homme dont l’Eglise avait besoin. Quand il est apparu après son élection (…), quelques paroles d’humilité (“ Je vous demande de prier le Seigneur afin qu’il me bénisse ”) ont suffi pour que Jorge Mario Bergoglio emporte l’adhésion des croyants, mais aussi de pas mal de mécréants. Respect. Depuis, le nouveau souverain pontife dépote. Il a enchaîné les gestes et les mots qui interpellent, comme lorsqu’il s’en est pris, lors de sa première homélie, à ceux qui, dans le clergé, sont des “ mondains ” et non des “ disciples du Seigneur ”. Sans oublier de se prononcer, plus tard, en faveur d’ “ une Eglise pauvre, pour les pauvres ”. En somme, il a tout de suite imposé son style, qui ne sera pas celui d’un pape pépère. On sent comme une radicalité en lui ”. Giesbert pensait-il à l’autre François (Hollande) en employant le mot “ pépère ”, nouveau surnom du président (voir la RP de samedi) ? On peut entre parenthèse se poser la question…

"Habemus sinistrum papam !"

“ Habemus sinistrum papam ! ” Tel est le titre de l’édito de Laurent Joffrin dans “ Le Nouvel Obs ”. François, “ pape sinistre ” ? Non : “ de gauche ” ("sinistrum”) ! Ah ben, ça, Joffrin adoubant le pape, si on s’était attendu… Contre toute attente, le patron du journal de gauche balaie en effet d’un revers de manche le passé controversé et les positions conservatrices du nouveau souverain pontife. “ Ces analyses manquent l’essentiel, dit-il. La force des premiers gestes du pape François est d’une autre nature. Son austérité, sa frugalité, la sobriété de sa mise, la simplicité de ses propos ont un seul but : rappeler avec éclat la priorité donnée par l’Eglise à la défense des plus pauvres ”. Partant, poursuit le journaliste, “ les louanges exaltées qu’on lit dans la presse de droite sur le nouveau pape ont un aspect franchement comique, quand on connaît la doctrine sociale de l’Eglise, clairement située à l’opposé du libéralisme. (…) L’Eglise est conservatrice en matière sociétale, mais progressiste dans le domaine social ”. Le patron de “ L’Obs ” vantant le progressisme de l’Eglise en matière sociale, c’est assez dépotant, mais, après tout, pourquoi pas… 

Ni pape de gauche, ni pape des pauvres : un succédané pour tromper la faim

François, “ pape de gauche ”, ou “ pape des pauvres ”, Horacio Verbitsky, en ce qui le concerne, n’y croit pas. Auteur de “ El silencio, de Paulo VI a Bergoglio ”, le journaliste et écrivain argentin est interviewé ce jeudi dans “ VSD ”. “ Pour Vrebinsky, indique l’hebdo, le “ problème François réside moins dans l’attitude du pape durant la dictature que dans le malentendu issu de son élection. “ Lorsqu’il célèbrera sa première messe en plein air, qu’il évoquera les personnes exploitées et prostituées par les puissants de ce monde qui ferment leur cœur au Christ, lorsque les journalistes, qui sont ses amis, raconteront qu’il prend le bus ou le métro, lorsque les fidèles écouteront ses homélies récitées avec des gestes dignes d’un acteur et dans lesquelles il mêlera paraboles bibliques et parler simple du peuple, alors certains exalteront le renouveau tant espéré de l’Eglise. Mais ce pape-là ne sera qu’un ersatz, un succédané de mauvaise qualité, comme l’eau mêlée de farine que les mères nécessiteuses donnent à leurs enfants pour tromper la faim. François n’est pas un homme de gauche, il n’est pas le pape des pauvres ” ”. Et vlan ! Plaisante pas, Horacio, dis donc…

Les deux France

Et puisqu’on parle religion, “ Le Nouvel Obs ” publie un entretien des plus titillants avec Hervé Le Bras et Emmanuel Todd à l’occasion de la sortie de leur livre, “ Le mystère français ” (Le Seuil). Les deux auteurs y mettent en lumière la coexistence de “ deux France : l’une optimiste et l’autre dépressive. Deux géographies : des régions périphériques qui s’en sortent (la Bretagne, le Sud-Ouest, l’Alsace, la région Rhône-Alpes) et une grande zone centrale qui vacille (le Bassin parisien, le Nord, le pourtour méditerranéen). Deux attitudes face à la mondialisation : dans les régions périphériques, la dimension “ autoritaire ” du catholicisme se révèle, une fois laïcisée, une protection efficace contre la crise ; dans les zones centrales, l’idéal d’individualisme “ égalitaire ”, qui fut le ferment de la Révolution, renforce aujourd’hui l’isolement des plus faibles. Et enfin, entre ces deux France, un véritable chassé-croisé électoral : les anciens bastions de tradition chrétienne ont basculé à gauche, tandis que les terres jadis communistes sont tombées aux mains de la droite dure ou du FN. En somme, (…) la modernité aurait changé de camp (…) ”. Hue, carrément ? C’est bizarre, ça… Oui, da, mais c’est assez intéressant, aussi… On y va ?

La libération du catholicisme et du communisme ne produit pas les mêmes effets

“ Il y a une asymétrie fondamentale, explique pour commencer Emmanuel Todd, entre les régions restées tardivement catholiques et celles qui furent révolutionnaires puis communistes. Les premières ont gardé des valeurs d’entraide et vont plutôt bien. Les gens sont sortis du catholicisme en douceur et bénéficient du dynamisme de leur libération mentale. En revanche, les secondes vont mal : au-delà de tous ses défauts, le communisme portait une foi dans le progrès qui, en s’effondrant, a laissé un vide considérable et même un profond sentiment de honte d’ “ y avoir cru ”. Ces populations sont aujourd’hui en proie à une véritable dépression ”. Wow ! C’est un peu fou, tout ça… Qui aurait dit que la libération du catholicisme et du communisme (qu’on peut, à certains égards, assimiler à une forme de “ religion ”), produirait des effets différents ? Non seulement différents, mais aussi totalement inversés ? Les anciens catholiques, “ conservateurs ”, devenant “ dynamiques ” et les ex-révolutionnaires, “ progressistes ”, basculant dans “ une véritable dépression ” ?

Hollande élu par des ex-cathos, Sarko soutenu par des ex-Révolutionnaires : il y a quelque chose de détraqué dans le système France

—“ Qu’est-ce qui ne va pas ? ”, demande “ Le Nouvel Obs ” à Emmanuel Todd. —“ Une faiblesse au cœur du système national. La bonne santé des régions (ex-catholiques) n’est pas suffisante. Il n’est pas normal que la gauche domine dans des régions qui s’opposèrent à la Révolution et ne croient pas en l’égalité métaphysique des hommes. Symétriquement, il n’est pas normal que, dans les régions de croyance en la liberté et en l’égalité, qui firent la Révolution française, les taux de chômage soient plus élevés, et qu’on y vote plus à droite, y compris pour le Front national dans les milieux populaires. Or c’est bien ce qui s’est passé lors de l’élection présidentielle de 2012 : Hollande a été élu par le Sud-Ouest et la Bretagne, Sarkozy a fait de la résistance dans l’est du Bassin parisien. Il y a quelque chose de détraqué dans le système France ”. Hollande élu par des ex-cathos, Sarko soutenu par des ex-Révolutionnaires, effectivement, il y a un truc qui ne tourne pas rond… Mais qu’est-ce que c’est-il donc ?

La preuve que “ le pingouin ” de Carla Bruni est bien François Hollande

Une petite info pipolitique avant de nous quitter, histoire de finir sur un pied plus léger ? Scoopinet ! Malgré le démenti opposé par l’ex-première dame, “ Le Nouvel Obs ” en a la preuve : c’est bel et bien François Hollande que Carla Bruni-Sarkozy vise dans sa chanson “ Le pingouin ”. “ Dans nos colonnes, indique l’hebdo, Carla Bruni a assuré la semaine dernière (voir la RP du 14 mars) qu’elle visait en fait tous les “ malappris ”. Avec un brin d’hypocrisie : il y a quelques semaines, en effet, elle a demandé elle-même à un dirigeant de l’UMP que sa formation se fasse discrète au moment de la sortie de la chanson. “ C’est bien Hollande qu’elle a dans le collimateur, assure un ex-collaborateur de Sarkozy. A l’UMP, tout le monde est gêné : c’est répondre à une inélégance par une inélégance ” ”. De là à penser que cet album est moins musical que politique… Comme quoi, la musique n'adoucit pas toujours les moeurs, hmmm ?

A lire, encore

Dans "VSD", l'interview du djihadiste Morgan Salem al-Gohary qui, après avoir supervisé la destruction des bouddhas de Bamiyan en Afghanistan, a juré de détruire les Pyramides d'Egypte.

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