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Zapping politique du jour : Michel Sapin, Le Maire, Morin... Tout ce qu'il faut retenir
©Reuters

A ne pas rater

Atlantico.fr vous propose ce mercredi de retrouver les meilleurs moments de l'actualité politique.

La phrase du jour : Stéphane Le Foll, ministre de l'Agriculture sur RTL

"Je pensais que quand on devenait sénateur, on avait la maturité qui allait avec... ce n'est apparemment pas le cas. Quand on appartient à une majorité, il y a un minimum de responsabilité à avoir" (le ministre répondait aux propos de Jean-Vincent Placé sur l'affaire Leonarda)

La vidéo du jour : Bruno Le Maire, député UMP, sur iTélé

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L'essentiel de ce mercredi matin

Michel Sapin, ministre du Travail, sur Europe 1

Les contrats de génération ne fonctionnent pas ? "Ce n'est pas un échec, ça marche bien dans les très petites entreprises. Si on regarde les choses en face, ce n'est que dans un secteur que ça ne marche pas, dans les entreprises de plus de 50 000 employés. Les chefs d'entreprise et les syndicats n'ont pas assez préparé, discuté d'où cet échec".

Chômage ? "Nous allons atteindre cet objectif, il y a une tendance à la stagnation du chômage. Mais ne soyez pas si impatients, nous sommes en septembre, pas encore en décembre. Ce qui se passe en Bretagne est un drame local mais il ne faut pas confondre avec les chiffres du chômage. (...) Les chiffres du chômage de demain ne seront pas bons, car il y a eu un incident statistique qui a donné un effet faussement positif en août. Ce bug amplifiera la hausse du chômage en septembre, c'est normal. Je l'avais d'ailleurs annoncé".

L'appel des Verts à manifester pour soutenir Leonarda ? "C'est de l'enfantillage mais pour des adultes c'est grave. Sur la politique même, sur le fond, ils ont tort, la loi doit être respectée".

L'autorité de François Hollande ? "Elle est mise à mal par des images. La parole d'une adolescente ne doit pas être mise sur le même plan que celle du chef de l'Etat, chacun doit y réfléchir".

Pascal Durand, secrétaire national d'EELV sur RMC

L'écotaxe qui devrait peser sur les agriculteurs ? "On est en train de se servir de chiffons rouges, on va chercher des symboles. Ça fait des années qu’on n’arrive pas à régler la problématique sur le fond. Le modèle agricole breton est catastrophique avec le choix de l’intensif, des porcheries industrielles, on a bousillé la culture et l’élevage de proximité. C’est ce qui faisait la grandeur de la France, avec des consommateurs contents et une eau et une terre préservées. Bien sûr que l’écotaxe représente un mauvais symbole. Mais c’est une taxe qui existe dans de nombreux pays et marche très bien".

Les manifs lycéennes en soutien à Leonarda ? "Je n’ai pas à appeler à manifester, mais je soutiens les jeunes qui manifestent contre l’arrestation d’une jeune fille dans un car scolaire. La fraternité et la solidarité sont en train de disparaître de notre langage. Une société qui arrête un car scolaire pour arrêter une gamine de 15 ans qui est avec ses copains est une société qui va mal. Il y a des lois, on peut les appliquer avec discernement"

Les Verts restent qu gouvernement ? "La gauche et les écologistes ont été appelés au pouvoir aussi pour essayer de remettre un peu de fraternité. (...) Nous demandons une politique d’intégration humaine et solidaire".

Hervé Morin, ancien ministre UDI, dans Le Figaro

François Hollande ? "Dans un pays qui n'a plus de repères, l'attitude du chef de l'État est lamentable. Sa position qualifie sa personne. Je ne sais pas si c'est l'expression d'un cynisme absolu ou l'aveu de son aveuglement, mais on ne peut pas imaginer qu'un homme politique qui est aussi un père puisse proposer à une adolescente de choisir entre sa famille et un pays d'émigration. Cet homme s'est présenté devant les Français comme un président normal, et il nous fait la démonstration de son anormalité absolue. Dans une démocratie d'opinion comme la nôtre, le pouvoir ne peut pas exercer ses responsabilités longtemps quand la cote de défiance l'amène en dessous de la moquette. C'est pourtant là que le président et sa majorité se trouvent".

La poussée du FN ? "Nous sommes coresponsables de la percée de Marine Le Pen. Responsabilité active du PS avec ses mesures qui ne sont pas à la hauteur de la situation du pays. Responsabilité passive de l'ancienne majorité, qui a dénoncé beaucoup, sans apporter assez de solutions. En 2007, si Nicolas Sarkozy a fait baisser le Front national, ce n'est pas seulement parce qu'il a traité de thématiques empruntées au FN, mais car il apparaissait comme celui qui allait enfin faire bouger les choses et redonner de l'espoir à la France".

L'avenir de l'UDI ? "L'UDI a été une première marche, la seconde sera le rapprochement avec le MoDem et j'espère qu'avant la présidentielle, nos amis centristes de l'UMP franchiront la troisième en nous rejoignant". 

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