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Zapping politique du jour : Jean-Luc Mélenchon, Raffarin, Cazeneuve... Tout ce qu'il faut retenir
Atlantico.fr vous propose ce mercredi de retrouver les meilleurs moments de l'actualité politique.
La phrase du jour : Stéphane Le Foll, ministre de l'Agriculture, sur France Info
"L'engagement du patronat doit se faire avec l'idée que la contrepartie existe. Ce doit être vraiment du donnant-donnant"
La vidéo du jour : Bernard Cazeneuve, ministre du Budget sur iTélé
L'essentiel de ce mercredi matin
Jean-Luc Mélenchon, leader du Front de gauche, sur RTL
Sa vie privée ? "Je pense que sur le plan humain, il a eu raison. Mais par ailleurs, on ne peut pas être un monarque et n'avoir aucun devoir. Dans cette situation, il faut avoir de la grandeur, de la noblesse. J'aurais pris d'autres dispositions à sa place même si cela est douloureux".
Baisse des charges pour les entreprises ? "C'est un coup de barre à droite violent. C'est le gouvernement de gauche le plus à droite depuis Guy Mollet. C'est une tromperie énorme. On a jamais vu ça. On fait des cadeaux aux entreprises et on parle de contreparties. Mais lesquelles ? La création d'un observatoire des compromis, c'est vraiment ridicule. C'est absurde.. (...) C'est une trahison car on devait avoir un chef d'Etat qui luttait contre la finance. Je ne crois pas à la contrepartie des entreprises. Ce sont des propos économiques de droite. Il a employé tout le vocabulaire de la droite parlant même de charges sociales et plus de cotisations. (...) Il a fait un cadeau de 15 milliards aux entreprises".
Froid avec les communistes ? "Le Front de gauche est mal en point car nous l'avons construit pour faire contrepoids vis à vis des socialistes mais une partie des communistes revient auprès du PS pour les municipales. C'est un recul incroyable. C'est une situation grave".
Jean-Pierre Raffarin, sénateur UMP, sur France Culture
La conférence de François Hollande ? "Il m'a quasiment écouté ! Il y a encore du travail à faire, mais il faut dire clairement que ce changement de discours est le bienvenu. J'étais préoccupé de voir que les Chinois, les Américains, les Russes, le Brésil avaient à peu près tous la même vision du monde et nous étions les seuls différents. Finalement, le président rejoint une vision lucide de la situation économique mondiale".
Un nouveau président ? "Sur le plan politique, il est évident qu'il reste un candidat redoutable. Sera-t-il un jour un président efficace ? Nous le verrons bien, il est de toute évidence plus à l'aise dans la promesse que dans l'action. On l'attend maintenant dans l'acte. (...) Il est obligé de changer", "le président en a conscience. Aura-t-il la force et la majorité de ce changement ? Nous allons voir".
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