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Zapping politique du jour : Jean-François Copé, Montebourg, Désir... Tout ce qu'il faut retenir
©Reuters

A ne pas rater

Atlantico.fr vous propose ce lundi de retrouver les meilleurs moments de l'actualité politique.

La phrase du jour : François Fillon, député UMP dans Le Figaro

"S'il n'y a pas de primaire, plusieurs candidats se présenteront au premier tour et avec le FN, en nette progression lors de la dernière élection présidentielle, il y a un risque de ne pas être qualifié au second".

La vidéo du jour : Nathalie Kosciusko-Morizet, candidate UMP à la mairie de Paris sur iTélé


L'essentiel de ce lundi matin

Jean-François Copé, président de l'UMP sur Europe 1

Le pacte de responsabilité ? "Tout se fait dans le mauvais sens. Parce que comme d’habitue, ce ne sont pas les forces politiques qui sont consultées en premier, alors que c’est tout de même au Parlement que les choses se passent. La consultation commence par la CGT, donc le débat porte tout de suite sur les contreparties. Cela vient montrer que l’écran de fumée se dissipe, et qu’après le grand effet d’annonce, on est en train de voir les bétabloquants se mettre en place. Je crains que malheureusement rien de ce nouvel élan promis ne se mette n place, hélas".

"J’ai envie de dire au président de la République : n’enlevez pas d’une main ce que vous proposez de donner de l’autre. C’est tout le problème. Ce serait bien de réussir le pacte de responsabilité, mais pour le réussir, il ne fait pas commencer à laisser tous les bétabloquants empêcher les choses de se faire. Là, il propose une petite baisse de charge, il ne touche pas aux 35 heures, il ne touche pas au Code du travail, il ne touche pas à la formation… Il n’y a rien de concret dans tout ça. Tout est toujours fait a minima".

Arnaud Montebourg, ministre du Redressement productif dans Le Figaro

La décision de Moody's ? "C'est un non-événement. Sur les agences de notation, mon opinion ne varie pas: je suis pour leur démantèlement. Elles sont coupables de nous avoir entraînés dans la crise financière".

Le pacte de responsabilité ? "La baisse des charges de 30 milliards d'euros à travers le pacte de responsabilité aura des effets importants.Je suis très attaché à l'idée de réciprocité que j'ai défendue lors des discussions sur le CICE. Si la nation aide les entreprises, les entreprises doivent aider la nation (...). Les chefs d'entreprises doivent dire devant la nation les efforts qu'ils pensent pouvoir réaliser en matière d'emplois et d'investissements en contrepartie de la baisse du coût du travail".

2 millions d'emplois en contrepartie ? "Ce n'est pas une surenchère. C'est un objectif tout à fait atteignable. 2 200 000 emplois ont été créés entre 1997 et 2002. Dans les 5 ans, la France devra absorber 640 000 actifs supplémentaires. Un million d'emplois représenterait donc 360 000 chômeurs en moins en 5 ans". 

Harlem Désir, premier secrétaire du PS, sur RTL

Chômage ? "Peut-être que les chiffres ne seront pas aussi bons qu'espérés. Le chômage a baissé au deuxième trimestre puis s'est stabilisé. J'assume la part de volontarisme qu'il y a eu dans ce combat. Réussir à faire baisser le chômage des jeunes depuis avril, c'est un succès. Il faut maintenant que ça se ressente sur tous. L'effort de baisse des charges sur les entreprises va avoir des conséquences sur l'emploi. (...) La hausse a été stoppée, on est en train de réussir et on va réussir grâce au pacte de responsabilité qui est patriotique et social. Il faut que tout le monde soit réuni autour de cette avancée majeure".

Le communiqué "maladroit" de François Hollande sur sa rupture avec Valérie Trierweiler ? "François Hollande est humain et sensible. Il a clarifié sa situation. C'est l'essentiel. Il faut arrêter maintenant de mêler la vie privée et la vie politique. Il faut faire une séparation. Il sera jugé par son action et pas pour sa vie privée. Cela n'a aucune incidence sur l'essentiel". 

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