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Zapping politique du jour : Benoît Hamon, Duflot, Lepaon... Tout ce qu'il faut retenir
©Reuters

A ne pas rater

Atlantico vous propose de retrouver les moments forts des émissions politiques de ce mardi matin.

La phrase du jour : Jean-Marc Germain, député PS frondeur, sur Europe 1

"Nous, les 41, avons le sentiment de faire notre travail de député. On se fait même le reproche d'avoir été trop silencieux dans les deux premières années".

La vidéo du jour : Thierry Lepaon, secrétaire général de la CGT

L'essentiel de ce mardi matin

Benoît Hamon, ministre de l'Education nationale, sur RTL

Le bac ? "La grève a peu ou pas impacté sur le bac. Il y a 300 retards, les parents et élèves ont pris leur disposition. Le personnel de l'Education a été attentif au cas particuliers. Tout s'est bien passé. (...) Il n'y a pas eu de fuite dans la nuit. Il y a eu des divulgations de sujets un peu avant l'épreuve de philosophie. Là encore, il n'y a pas eu de perturbation. Des recherches sur un compte twitter ont été faites. Honnêtement, rien n'a mis en péril la bonne tenue du bac". 

Grève SNCF ? "Cette grève est en décalage par rapport au sens de la réforme. Il faut trouver un accord rapidement. Le sens de cette grève n'est plus clair".

Intermittents ? "C'est un sujet délicat. Il faut agréer l'accord UNEDIC.Il faut que les fstivals se déroulent mais il faut être attentif à ces hommes et ces femmes qui ne sont pas des privilégiés de la République. (...) Il y a des débats à l'intérieur de la majorité. La majorité doit être l'interprètre de notre électorat. Il faut donc de la justice sociale. 

Cécile Duflot, député EELV, sur RMC

Grève de la SNCF ? "C'est une bonne chose de réunifier RFF et la SNCF, c'est une bonne réforme. Mais je comprends ce que peut ressentir les cheminots. C'est un vrai sujet. Il faut maintenir la réforme et maintenir le dialogue. Je ne sais pas encore si je la voterai ou pas. Aujourd'hui, je pense que je la voterai. Mais il ne faut pas maîtriser les cheminots même si c'est pénible

Le statut des intermittents ? "Le gouvernement a tort sur le sujet. On ne peut pas aggraver la situation des intermittents. Ces gens sont une chance pour la culture et pour notre pays. Il faut les comprendre. Je souhaite qu'il n'y ait pas de précarisation. 75% ne sont pas touchés mais 25% le sont. Ils ont une situation très précaire. Il cherche des contrats de quelques jours, de quelques heures. C'est peu de choses par rapport à l'ensemble de l'assurance santé. Il faut sortir ceux qui travaillent beaucoup, qui sont presque en CDI, de ce régime. Donc non je ne suis pas d'accord avec le gouvernement, je soutiens les intermittents.

Le pacte de responsabilité ? "Il ne faut pas nous donner de leçon de responsabilité. La politique du gouvernement a changé depuis 2 ans. Le coeur de projet de François Hollande n'est plus le même. Je ne suis pas sûr que le pacte crée des emplois. Il faut davantage investir et pas forcément réduire les charges des entreprises. Il faut créer un équilibre entre l'investissement et les prestations sociales". 

Candidate en 2017 ? "On est dans un pays qui va mal et qui a mal. On n'est dans une situation grave. Personne ne doit penser à 2017. Les Français s'en fichent. Moi, je vais vous dire sincèrement, je ne sais pas ce que je ferai l'année prochaine. Regardez en 2012, tout le monde voyait Mr Strauss-Kahn président de la République. Vous connaissez la suite. Tout va très vite en politique". 

Yves Jego, président par intérim de l'UDI dans Direct Matin

La situation de l'UDI ? "Les résultats électoraux montrent que nous nous portons bien. Nous avons conquis un tiers des villes reprises à la gauche lors des municipales et nous avons réussi notre pari d’atteindre les 10% aux européennes, c’est-à-dire de peser pour un tiers de l’opposition républicaine. (...) Une guerre de succession ? Je souhaite pour ma part que nous soyons fidèles à Jean-Louis Borloo et que les différents candidats mènent une campagne positive afin qu’il y ait un gagnant mais pas de perdant".

Un centre réuni avec l'UMP ? "Il faut qu’il y ait un dialogue de l’opposition pluraliste. Mais ce dialogue ne pourra avoir lieu qu’une fois que l’UMP aura réglé ses problèmes de gouvernance et que l’UDI aura élu son président. Ensuite, je propose l’organisation, d’ici à la fin de l’année, d’états généraux de l’opposition, pour évoquer ensemble, avec le Modem et l'UDI, le meilleur moyen de mettre fin à la malheureuse expérience socialiste".

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