Vol MH370 : il était "très vraisemblablement" en pilote automatique au moment du crash selon le vice-Premier ministre australien<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
International
Les recherches se poursuivent pour tenter de retrouver les débris du vol MH370
Les recherches se poursuivent pour tenter de retrouver les débris du vol MH370
©Reuters

Lost

L'avion a disparu sans laisser de trace le 8 mars avec 239 personnes à bord.

Le vol MH370 de Malaysia Airlines va-t-il garder ses mystères à tout jamais ? Les enquêteurs piétinent toujours. Plus de 3 mois après le crash dans l'Océan Indien, les informations parviennent au compte-goutte. Ce jeudi matin, Warren Truss, le vice-Premier ministre australien a indiqué à la presse que l'avion était "très vraisemblablement" en pilote automatique lorsqu'il s'est abîmé en mer.

"On peut dire, je pense, qu'il est très très vraisemblable que l'appareil était en pilote automatique. Sinon, il n'aurait pas tracé la trajectoire très régulière qui a été identifiée grâce aux données satellitaires" a-t-il indiqué avant d'ajouter que les recherches se poursuivent. Par ailleurs, alors que les enquêteurs peinent à trouver le périmètre exact dans lequel l'avion s'est crashé, une nouvelle analyse des données satellitaires a permis de définir une nouvelle zone de 60 000 km carrés. Des opérations sous-marines commenceront en août, selon les autorités locales.

L'avion a disparu sans laisser de trace le 8 mars avec 239 personnes à bord. Il reliait Kuala Lumpur à Pékin. Il n'y a pour l'heure aucune trace de l'avion malgré des moyens de recherches énormes déployés. Les familles des victimes sont toujours dans l'attente. Certaines ont entamé une action en justice contre Boeing et Malaysia Airlines.

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !