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Valérie Trierweiler désavoue son avocate qui "a parlé sans savoir"
©Reuters

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Me Frédérique Giffard a notamment confié au Figaro que François Hollande et Valérie Trierweiler "réfléchissent" dans le but de clarifier la situation au plus vite.

Valérie Trierweiler n'a pas du tout apprécié la sortie médiatique de son avocate. Ou plutôt de son ex-avocate. "Elle a parlé sans savoir et sans être mandatée. [...] Elle n'est plus mon conseil", a déclaré la Première dame sur Europe 1 jeudi soir, désavouant ainsi Me Frédérique Giffard. Le directeur de cabinet de Valérie Trierweiler à l'Elysée, Patrice Biancone, s'est lui aussi agacé de cette sortie auprès de BFMTV : "Il n'y a qu'une seule personne mandatée au nom de Valérie Trierweiler, c'est moi." 

Dans un article mis en ligne en début de soirée sur Le FigaroMe Frédérique Giffard déclare que "le président de la République et ma cliente réfléchissent. [...] Valérie Trierweiler est consciente qu'une clarification s'impose". Par ailleurs, l'avocate nie le fait que Valérie Trierweiler ait pu "jouer la comédie" ou se "livrer à un quelconque chantage". 

"Imaginer qu'elle puisse vouloir instrumentaliser sa détresse est totalement contraire à sa personnalité et à sa façon de concevoir les rapports humains, basées sur la franchise. Elle souhaite réellement que toute cette affaire puisse se résoudre pour en sortir le plus dignement possible", explique Me Giffard.

Le Figaro affirme que le chef de l'Etat et la Première dame veulent sortir "d'une situation qu'ils n'ont ni l'un ni l'autre envie de voir s'éterniser". Pour l'heure, "l'hypothèse d'une séparation reste la plus probable." Le quotidien ajoute que Valérie Trierweiler "est aussi préoccupée par sa situation matérielle". Cette question serait au coeur de ses discussions avec François Hollande.

Lu sur Le Figaro

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