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Vague d'agressions sexuelles à Cologne : une trentaine de suspects identifiés, dont 18 réfugiés
©Reuters

Enquête

Ce vendredi, le chef de la police de Cologne, très critiqué, a été suspendu à la suite de ces violences.

L'enquête sur les violences commises lors de réveillon de la Saint-Sylvestre à Cologne avance pas à pas. Le porte-parole du ministère de l’intérieur fédéral a annoncé, ce vendredi 8 janvier, que "31 suspects, dont les noms sont désormais identifiés", étaient soupçonnés de violences physiques et de vols. Parmi eux, on compterait 18 personnes possédant le statut de demandeur d’asile.

En revanche, aucune information n'a été donné concernant des suspects pour les agressions sexuelles proprement dites, ni mentionné d’interpellations à ce stade.

En tout, sur les 31 personnes identifiées, neuf sont de nationalité algérienne, huit de nationalité marocaine ; cinq de nationalité iranienne ; et quatre sont Syriens. Deux Allemands, un Irakien, un Serbe et un Américain sont également soupçonnés d’avoir participé à ces violences.

Par ailleurs, selon des informations du DailyMail, des réfugiés auraient moqué ouvertement la police allemande, qui tentaient de stopper le chaos. "Je suis Syrien, je dois être reçu chaleureusement; madame Merkel m'a invité" aurait notamment lancé l'un d'eux. 

Angela Merkel, mise sous pression depuis la médiatisation de ces événements, a promis une réponse ferme contre les auteurs de ces "actes criminels répugnants" et un renforcement de la politique de reconduite à la frontière pour les étrangers auteurs de délits.

Dans l'après-midi, il a été révélé que Wolfgang Alberts, le chef de la police de Cologne, a été mis "en congé provisoire" à la suite de ces violences.

Lu sur 20 minutes

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