Succession d'Aubry au PS : la profession de foi de Cambadélis<!-- --> | Atlantico.fr
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Le député de Paris, Jean-Christophe Cambadélis, candidat à la succession de Martine Aubry à la tête du PS, a exposé son projet pour le parti.
Le député de Paris, Jean-Christophe Cambadélis, candidat à la succession de Martine Aubry à la tête du PS, a exposé son projet pour le parti.
©Flickr

Il a des idées sur tout...

Jean-Christophe Cambadélis, candidat à la succession de Martine Aubry à la tête du PS, a exposé son projet pour le parti, basé sur cinq "exigences".

Jean-Christophe Cambadélis se place. Depuis le "coup de gueule" d'Harlem Désir, le candidat au premier secrétariat du PS est devenu le favori pour succéder à Martine Aubry. Alors, l'homme s'engage à plein régime. Ce mercredi, il a exposé son projet pour le parti, basé sur cinq "exigences", qui "permettront de moderniser la France, revivifier la République", dans une tribune publiée dans le Monde.

"Au-delà du soutien à l’action menée par le président et le Premier ministre, notre famille politique doit se fixer cinq exigences", a écrit l'élu parisien dans cette tribune où il déroule son programme d’action s’il était désigné pour prendre les rênes du PS. La première de ces exigences est la "réflexion" de façon à "faire partager nos idées, diffuser nos analyses, nos solutions". Le député de Paris estime que de "nouvelles rénovations" sont nécessaires. La deuxième exigence porte sur "la rénovation de la vie publique", a poursuivi Jean-Christophe Cambadélis en prônant notamment de faire appel à "une nouvelle génération de responsables (...) le plus souvent issue du militantisme de terrain, qu’il soit politique, syndical, associatif ou humanitaire".

L’exigence suivante est celle d'"associer les territoires au changement", a écrit le député socialiste en rappelant que le "PS est le premier de France par le nombre de ses élus". L'homme préconise aussi un "sommet des progressistes" ouvert aux syndicats et au mouvement social "pour fixer ensemble des objectifs communs de transformation sociale". Il propose enfin de mettre en place un "comité de liaison" avec les différents "partenaires" de gauche. Jean-Christophe Cambadélis est lancé. Difficile de penser que la concurrence peut l'inquiéter.

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