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Sex-tape, emploi, Obamacare et mur avec le Mexique : les déclarations de Donald Trump lors de sa première conférence de presse
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Sous haute tension

Le nouveau président américain a indiqué qu'il allait être "le plus grand créateur d'emplois que Dieu ait jamais créé".

L'ambiance était franchement tendue à la Trump Tower. Au lendemain du discours d'adieu de Barack Obama, son successeur Donald Trump a donné sa première conférence de presse ce mercredi. Un exercice rendu explosif par l'actualité : le milliardaire doit faire face à une polémique sur une vidéo à caractère sexuel, une "sex-tape", qui le montrerait avec des prostituées et qui serait détenue par les Russes. Trump s'est d'abord montré évasif à ce sujet avant de lancer: "Je crois que c'est un scandale que des informations aient pu fuiter. Toutes celles qui se sont retrouvées dans ce rapport sont bidons. Ce sont des personnes malades qui ont regroupé toutes ces foutaises". Egalement interrogé sur les soupçons de piratage russe durant la campagne présidentielle, le néo président républicain a estimé que "tout le monde fait des cyberattaques".

Donald Trump,  qui a annoncé avoir cédé le contrôle de ses entreprises à ses deux fils Eric et Donald Jr pour la durée de son mandat, s'est surtout posé en champion de l'emploi, "le plus grand créateur d'emplois que Dieu ait jamais créé". Le magnat de l'immobilier est aussi revenu sur l'Obamacare, qu'il a qualifié de "désastre". Nous allons adopter un plan, et ce plan sera le remplacement et l'abrogation d'Obamacare".

Questionné sur le projet de construction d'un mur à la frontière avec le Mexique, il a confimé qu'il voulait faire payer le pays voisin des Etats-Unis. "Nous allons construire un mur. Le Mexique va nous rembourser et nous rembourser le prix de la construction du mur. Qu'il s'agisse d'un paiement ou d'une taxe, ils vont le faire. Nous allons bâtir un mur. Les gens vont me dire 'Qui va payer ?' On a entendu la semaine dernière que le Mexique ne veut pas payer. Le Mexique a été extrêmement aimable, je respecte le peuple et le gouvernement mexicain. Le gouvernement mexicain est excellent et je ne leur en veux pas d'exploiter les États-Unis. Mais ils vont payer".

Lu sur BFMTV

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