Renault : la piste de la manipulation interne<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Economie
Renault : la piste de la manipulation interne
©

Marche arrière

Elle est désormais évoquée par le directeur général du groupe qui met en jeu sa responsabilité dans l'affaire.

Patrick Pelata sort de son silence.

Deux mois après le fracassant licenciement de trois cadres de Renault-Nissan, le numéro 2 du groupe explique au Figaro qu'"un certain nombre d'éléments m'amènent à douter" de la piste de l'espionnage. Reconnaissant l'erreur de ne pas avoir averti la police plus rapidement, il imagine deux hypothèses :

"Soit nous sommes face à une affaire d'espionnage et un cadre de la direction de la sécurité protège sa source envers et contre tout. Soit Renault est victime d'une manipulation, dont on ignore la nature mais qui pourrait prendre la forme d'une escroquerie".

Si la deuxième piste se confirmait, M. Pelata indique pour la première fois que les cadres pourraient être réintégrés, les injustices réparées, et lui en tirera toutes les conséquences "jusqu'au niveau le plus haut de l'entreprise, c'est-à-dire jusqu'à moi".

Le licenciement de Matthieu Tennenbaum, Michel Balthazard et Bertrand Rochette s'était effectué sur la base de la découverte de mécanismes financiers complexes alimentant des comptes à l'étranger. Comptes qui semblent aujourd'hui inexistants.

Lu sur Le Figaro

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !