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Invité de Sud Radio, le président du MoDem a considéré que le psychodrame provoqué par la loi immigration rebattait les cartes et obligeait le président à une réponse forte.
Invité de Sud Radio, le président du MoDem a considéré que le psychodrame provoqué par la loi immigration rebattait les cartes et obligeait le président à une réponse forte.
©Miguel MEDINA / AFP

Loi immigration

Invité de Sud Radio, le président du MoDem a considéré que le psychodrame provoqué par la loi immigration rebattait les cartes et obligeait le président à une réponse forte.

Après avoir longuement répondu aux questions du «Grand Jury» RTL-Le Figaro-Paris Première-M6 dimanche, le président du MoDem est revenu ce jeudi, au micro de Sud Radio, sur le psychodrame qui a fracturé la majorité autour la loi immigration. Ce, alors que ses troupes font partie des députés qui ont mené la fronde macroniste à l'Assemblée nationale. Laquelle a entraîné l’adoption du texte droitisé par Les Républicains et soutenu par le Rassemblement national, malgré la soixantaine de voix de la majorité qui ont manqué à l’appel.

Considérant que «le processus d'adoption de ce texte» avait été «très insatisfaisant», mais «absolument nécessaire», François Bayrou a regretté que le parcours législatif ait été entaché d’«un accident». Le maire de Pau a fustigé la motion de rejet «scandaleuse» votée par des «oppositions (qui) ont refusé de faire le travail pour lequel elles sont élues». Si le centriste a défendu plusieurs dispositions de la loi face au risque de censure du Conseil constitutionnel, il a pris soin de préciser : «Ce n'est pas mon texte, ni celui de la majorité, ce texte est la copie de la délibération de la commission mixte paritaire», où la droite est majoritaire.

Le Figaro

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