Régionales : Agnès Pannier-Runacher en infraction avec la loi sur la moralisation et la transparence de la vie politique ?<!-- --> | Atlantico.fr
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Agnès Pannier-Runacher
Agnès Pannier-Runacher
©Martin BUREAU / AFP

Elections

Quand sa relation avec son directeur de cabinet à Bercy qui a démissionné de son poste, a-t-elle commencé ?

Le 9 mai, avant le dépôt des listes LREM pour les Régionales, Agnès Pannier-Runacher a donné, comme adresse, celle de son chef de cabinet au ministère de l'Économie et des Finances Nicolas Bays, près de Lens, dans les Hauts-de-France  parce qu'ils ont « pris ensemble la décision d'une vie commune » selon le site d'information Politico.

Mais Politico se demande si la relation entre Agnès Pannier-Runacher et Nicolas Bays n'a pas commencé bien avant le 9 mai dernier, date à laquelle Nicolas Bays a finalement démissionné de ses fonctions au sein du cabinet de la ministre.

Si c'est le cas, la situation d'Agnès Pannier-Runacher aurait contrevenu, avant le 9 mai, à l’article 11 de la loi de 2017 pour la confiance dans la vie politique “interdit à un membre du gouvernement de compter parmi les membres de son cabinet son conjoint (…) ou concubin”.

Interrogée par RTL, Agnès Pannier-Runacher a reconnu que son conjoint, son ex-chef de cabinet à Bercy, a continué à travailler pour elle mais... bénévolement 80 heures par semaine.

Par ailleurs, vu sa domiciliation récente dans le Pas-de-Calais, certains LREM s’inquiètent d’une éventuelle invalidation de la candidature de la ministre.

La ministre déléguée à l'Industrie est  donc au cœur d'une polémique concernant sa candidature dans les Hauts-de-France et elle accuse l'entourage de Xavier Bertrand d'en être à l'origine souligne RTL.

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