Réforme du Code du travail : Bruno Le Maire affirme qu'il "voterait le texte, en l'état"<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Politique
Réforme du Code du travail : Bruno Le Maire affirme qu'il "voterait le texte, en l'état"
©Reuters

A contre-courant

Au micro de RMC et BFMTV, le député de l'Eure, qui a officialisé mardi sa candidature pour la primaire de la droite et du centre, a estimé qu'il fallait "libérer le marché du travail".

Si le projet de réforme du Code du travail ne passe décidemment pas à gauche, Bruno Le Maire, lui, l’affirme : il voterait en faveur de ce texte. "En l’état, ou, je voterai ce texte", a-t-il commenté au micro de RMC et BFMTV.  "Il faut qu'on libère le marché du travail. Des licenciements économiques plus faciles, pourquoi pas, mais cette réforme doit être accompagnée d'autres changements", a-t-il estimé, citant notamment le devoir pour un employeur de proposer une formation professionnelle à ses salariés pour pouvoir lutter plus efficacement contre le chômage.

Après s’être déclaré officiellement candidat ce mardi à la primaire de la droite et du centre, le député de l’Eure n’a pas caché ses ambitions. "Je veux devenir président de la République, mais ce sont les Français qui décideront", précise-t-il. L’élu Les Républicains est également revenu sur la phrase "Mon intelligence est un obstacle", qu’il avait déclarée dans Le Point du 18 février dernier, et qui a provoqué la moquerie des réseaux sociaux. "Je considère aujourd'hui, après des années de travail politique, après avoir sillonné le pays, que c'est une erreur que de considérer que l'intelligence seule suffit à résoudre le problème des gens", a-t-il jugé, soulignant que "c'est le cœur qui permet de comprendre les gens".

A LIRE AUSSI : Bruno Le Maire a fait un effort pour casser son image mais cela suffira-t-il ?

Lu sur BFMTV

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !