Réforme des retraites : la gauche présente une nouvelle demande de référendum d'initiative partagée<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Politique
Députés et sénateurs de gauche ont lancé jeudi une deuxième demande de référendum d'initiative partagée (RIP) sur la réforme des retraites.
Députés et sénateurs de gauche ont lancé jeudi une deuxième demande de référendum d'initiative partagée (RIP) sur la réforme des retraites.
©- / AFP

Un texte plus "sécurisé"

Le texte se veut plus «sécurisé» en termes juridiques, afin de pallier «l'éventuelle faiblesse» de la première proposition de référendum.

Députés et sénateurs de gauche ont lancé hier une deuxième demande de référendum d'initiative partagée (RIP) sur la réforme des retraites, un texte davantage «sécurisé» en termes juridiques que la demande sur laquelle le Conseil constitutionnel doit se prononcer ce 14 avril.

«Dans le cadre de la procédure dite du référendum d'initiative partagée, le Conseil constitutionnel a reçu le jeudi 13 avril 2023 du Président du Sénat transmission d'une nouvelle proposition (...) visant à interdire un âge légal de départ à la retraite supérieur à 62 ans», a annoncé l'institution jeudi en début de soirée.

Plus tôt jeudi, le président du groupe socialiste Patrick Kanner avait indiqué à l'AFP avoir déposé la saisine «sur le bureau du président du Sénat Gérard Larcher», espérant que ce dernier la transmette au Conseil au plus vite «avant l'éventuelle promulgation de la réforme». «C'est le même texte» que la première demande, complété par un 2e article «qui crée un élément de réforme : une recette fiscale liée aux ressources du capital pour sécuriser le financement de la retraite par répartition». Cela afin de pallier «l'éventuelle faiblesse» de la première demande.

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !