Primaire à gauche en 2016 : pour Luc Chatel, cela en dit long "sur l'état de faiblesse" de François Hollande<!-- --> | Atlantico.fr
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Luc Chatel, ancien ministre UMP.
Luc Chatel, ancien ministre UMP.
©Reuters

Franc du collier

Thierry Mandon, secrétaire d'Etat à la Réforme de l'Etat, a jugé "indispensable" la tenue d'une primaire à gauche.

Mercredi 19 novembre, le secrétaire d'Etat à la réforme de l'Etat Thierry Mandon a évoqué le besoin "indispensable" d'instaurer une primaire à gauche en 2016. Pour Luc Chatel, ces propos sont révélateurs de "l'état de faiblesse" et de "l'effondrement" de François Hollande"Les partis organisent le fonctionnement de la vie démocratique, donc s'ils souhaitent organiser le challenge au sein de leurs candidats, c'est leur droit", a déclaré le secrétaire général intérimaire de l'UMP mercredi devant l'Association des journalistes parlementaires. Mais, selon lui, "cela en dit long sur l'état de faiblesse du président de la République, même au sein de sa famille politique" et sur "son effondrement auprès de ses propres amis".

"J'ai un peu le sentiment que Thierry Mandon dit tout haut ce que certains pensent tout bas au gouvernement et au Parti socialiste, et il a le courage de le dire", a jugé le député UMP de la Haute-Marne. "On a connu des présidents qui pouvaient être impopulaires par le passé", a détaillé l'ancien ministre de l'Education nationale qui a alors évoqué François Mitterrand, Jacques Chirac ou Nicolas Sarkozy, "mais jamais aussi impopulaires que François Hollande". "Et surtout jamais mis en cause, alors qu'ils étaient chefs de l'Etat, dans leur propre famille politique", a assuré Luc Chatel.

Lu sur Le Point

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