Policière municipale poignardée le 28 mai : la procureure générale de Paris regrette que le Parquet national antiterroriste ne se soit pas saisi<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Justice
Police
Police
©PATRICK KOVARIK / POOL / AFP

Terrorisme

Divergences de vues entre magistrats

Les investigations sur le forcené qui a attaqué une policière municipale et séquestré une femme, le 28 mai près de Nantes, révèlent qu’il s’était mis à prier avant de mourir.

Sa grande religiosité et ses troubles psychiatriques divisent les magistrats sur l’opportunité de requalifier les faits en acte terroriste

La procureure générale de Paris, Catherine Champrenault, dans une interview au Monde le 8 juin, a exprimé son désaccord avec la décision du Parquet national antiterroriste (Pnat), sur laquelle elle a autorité, de ne pas se saisir pour l’instant de l’enquête. Elle affirme ainsi que si la policière municipale poignardée avait été tuée, « cela aurait forcément été qualifié d’attentat ».

 « Au parquet général, nous privilégions l’aspect objectif des faits, ajoute la magistrate. Cibler la police puis les gendarmes, sans s’en prendre à la femme chez qui cet homme est resté plus de deux heures, nous renseigne sur son objectif. » explique-t-elle au Monde

Comprendre : N’Diaga Dieye a délibérément visé les forces de l’ordre lors de son périple funeste, conformément à la propagande des organisations djihadistes analyse Le Parisien

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !