Plusieurs grandes entreprises visées par une cyberattaque mondiale <!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
International
Plusieurs grandes entreprises visées par une cyberattaque mondiale
©

Virus

Des informations rapportées par plusieurs entreprises faisaient état d'un virus contenant une demande de rançon de 300 dollars sur l'écran de leurs ordinateurs.

Plusieurs grandes entreprises et structures gouvernementales en Ukraine et Russie ont été frappées simultanément ce mardi par une vague massive de cyberattaques, dont le mode opératoire rappelle celui du virus "Wanna Cry", apparu au mois de mai dernier. Cette vague d'attaque, qui contient une demande de rançon, semble désormais se propager dans le monde entier. 

"Aucun lien officiel n'avait était établi mardi après-midi entre ces différentes attaques, apparemment simultanées, mais des informations rapportées par plusieurs entreprises faisaient état d'un virus faisant apparaître une demande de rançon de 300 dollars sur l'écran de leurs ordinateurs", rapporte l'AFP. 

>>>> À lire aussi : Après Wanna Cry, le chantage à l’apocalypse nucléaire ? Le groupe de pirates informatiques qui a fait fuiter les secrets de la NSA affirme détenir des données sur les programmes nucléaires de plusieurs pays

Certaines multinationales expliquent ainsi avoir été visées par des attaques, comme le géant maritime danois Maersk, le groupe français de matériaux de construction Saint-Gobain ou le groupe de publicité britannique WPP. Le virus "se répand dans le monde entier, un grand nombre de pays sont affectés", a prévenu sur Twitter Costin Raiu, chercheur du laboratoire russe Kaspersky.

D'après plusieurs spécialistes de cybersécurité, le virus responsable se nomme "Petrwrap", une version modifiée du "ransonware" (rançongiciel) Petya qui avait frappé en 2016.

Lu sur Le Point

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !