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Parti socialiste : Manuel Valls est "un de nos présidentiables" assure Jean-Christophe Cambadélis
©Reuters

Les réactions de la matinée

De son côté, François Bayrou estime que "cela sent la panique dans les rangs" de Nicolas Sarkozy. Voici les réactions politiques de la matinée.

Jean-Christophe Cambadélis : Le patron du PS est revenu, sur France Inter, sur les meilleures chances du parti socialiste pour la présidentielle. "Il y a beaucoup de personnalités, pas énormément, mais il y a quatre ou cinq personnalités qui peuvent se présenter. La principale vous le savez bien, c'est Manuel Valls" a-t-il souligné. "Il est Premier ministre et c'est l'un de nos présidentiables. C'est celui sûrement qui a aujourd'hui le plus de possibilités.

"Mais nous n'en sommes pas là. Pour l'instant on ne sait pas si le président de la République se représentera", soulignant que François Hollande "ne s'est pas facilité le travail, mais pour autant c'est à lui de prendre la décision".

François Bayrou : "Cela sent la panique dans les rangs" de Nicolas Sarkozy, a estimé le maire de Pau sur BFMTV, après une tribune publiée dans le JDD par les amis de l'ancien président, visant nommément François Bayrou. Ce dernier n'a pas hésité à tancer l'ex-chef d'Etat : "Si Nicolas Sarkozy avait été un bon Président, il aurait été réélu. Sa façon de gouverner et ses méthodes l'ont disqualifié." juge-t-il.

Interrogé sur une éventuelle place au gouvernement si Alain Juppé est nommé Président de la République, François Bayou a préféré botter en touche. "Moi au gouvernement ? Alain Juppé ne m'a rien promis. Je ne lui ai rien demandé non plus."

Emmanuelle Cosse : la ministre du Logement est toujours en froid avec Cécile Duflot et montre une certaine indifférence à l'élimination de cette dernière de la primaire écologiste. "Je ne sais pas ce qu'elle a payé et ça m'importe peu" explique Emmanuelle Cosse sur RTL. "Mais c'est un gâchis énorme d'avoir fait une primaire à l'échelle de ce parti".

Nathalie Kosciusko-Morizet : "Jean-Frédéric Poisson doit aller au bout de ses regrets" a déclaré NKM sur le plateau de l'Opinion, après les excuses du candidat à la primaire sur les "lobbies sionistes". "Je voudrais que la Haute autorité et le comité d’organisation statuent sur la base des valeurs républicaines de la droite et du centre" renchérit-elle.

François Kalfon : "Arnaud Montebourg est totalement mobilisé. Sans lui, la gauche va s'atomiser" juge son directeur de campagne sur Radio Classique. Il a néanmoins souligné qu'il "soutiendrai le candidat sortant de la primaire de la gauche".

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