Nuit Debout : "des gens qui n'ont rien dans le cerveau", estime Nicolas Sarkozy <!-- --> | Atlantico.fr
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"Nous ne pouvons plus accepter des syndicats qui se comportent comme des partis politiques", estime également Nicolas Sarkozy.
"Nous ne pouvons plus accepter des syndicats qui se comportent comme des partis politiques", estime également Nicolas Sarkozy.
©Reuters

Attaque frontale

"Nous ne pouvons accepter que des gens qui n'ont rien dans le cerveau viennent sur la place de la République donner des leçons à la démocratie française", a déclaré le président des Républicains à l'occasion d'un meeting.

Lors d'un meeting à Nice mardi 26 avril, l'ancien chef de l'Etat a vivement critiqué le mouvement de protestation "Nuit Debout", dénonçant au passage le "laxisme" du gouvernement.Nicolas Sarkozy a notamment évoqué les syndicats, les lycéens "manipulés" et "une école où on ne respecte plus rien".

"Nous ne pouvons accepter que des gens qui n'ont rien dans le cerveau viennent sur la place de la République donner des leçons à la démocratie française (…) Tous les soirs des casseurs occupent la place de la République, qu'est-ce que ce serait si c'était pas l'état d'urgence ?", a-t-il lancé. 

"Nous ne pouvons plus accepter des syndicats qui se comportent comme des partis politiques. On ne peut plus accepter des mosquées où on vient défendre des idées qui sont le contraire de la République. On ne peut plus accepter une école où l'on ne respecte plus rien et où il n'y a plus d'autorité. On ne peut plus accepter que des lycéens manipulés puissent manifester contre une loi dans laquelle il n'ya rien. Nous ne pouvons pas accepter que des gens qui n'ont rien dans le cerveau viennent sur la place de la République donner des leçons à la démocratie française. Nous ne pouvons plus accepter que des étrangers en situation irrégulière puissent occuper des établissements publics et des églises. Nous ne pouvons plus accepter que l'on conteste l'idée que la France a des racines et a le droit à son identité", a déclaré le président des Républicains, qui assure n'avoir "rien perdu" de sa "passion", ni de son "énergie". 

>>>> À lire aussi : Envie de Nuit debout ou de tout autre chose ? L'enquête sur les aspirations et les attentes des jeunes Français pour 2017

Lu sur BFMTV.COM

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