Nouvelles accusations de harcèlement au sein du studio français de jeu vidéo Ubisoft : cette fois à Singapour<!-- --> | Atlantico.fr
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©NICOLAS ASFOURI / AFP

MeToo

L'année dernière des cadres de la filiale canadienne accusés de harcèlement avaient du quitter Ubisoft

Le studio Ubisoft de Singapour fait l'objet d'une enquête sur des allégations de harcèlement sexuel et discrimination raciale, a annoncé le régulateur local, au sujet d'une nouvelle affaire qui touche le géant français des jeux vidéo signale Le Figaro.

A Singapour, où 500 salariés travailleraient pour Ubisoft, deux femmes ont témoigné de contacts physiques et de commentaires inappropriés tandis qu'un autre salarié s'est plaint d'«un fossé insensé des salaires entre locaux et expatriés».

Ceci alors que le syndicat Solidaires Informatique a déposé une plainte contre le groupe Ubisoft le 15 juillet pour harcèlement sexuel institutionnel, à laquelle s’ajoutent des plaintes individuelles contre plusieurs cadres.

Sans oublier que l'entreprise à l'origine des jeux Assassin's Creed ou Far Cry avait été éclaboussée l'an dernier par des révélations sur le comportement sexiste et violent de plusieurs de ses cadres dans la filiale canadienne. Serge Hascoët, l’ex-directeur créatif d’Ubisoft, numéro deux du groupe, avait du partir, comme Cécile Cornet, la directrice des ressources humaines, accusée d'avoir fermé les yeux.

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