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Nicolas Anelka : Dieudonné "était un ami, c’est devenu un frère aujourd'hui"
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Tacle

Dans une interview publiée vendredi dans Metronews, le footballeur revient sur sa quenelle faite au mois de décembre et qui lui a valu d'être licencié.

Nicolas Anelka est un taiseux. Ses interviews sont rares mais toujours aussi décapantes. Dans un entretien accordé à Arnaud Ramsay, le seul journaliste français à qui il parle, et publié ce vendredi dans Metronews, le joueur de football est revenu sur ses relations d'amitié avec Dieudonné. Une relation visiblement très forte. "C’était un ami, c’est devenu un frère aujourd'hui ! Le tribunal m’a demandé s’il restait mon ami, j’ai répondu oui, évidemment. C’est un humoriste, pas un politicien" lâche Nicolas Anelka.

Puis l'attaquant revient sur sa "quenelle de soutien" à Dieudonné qui lui a valu son licenciement du club de West Brom. C'était un "geste antisystème" maintient-il. "Je n’ai aucun antécédent raciste ni antisémite, donc aucune preuve, voire même le soupçon d’une preuve ! Ah si, tout de suite, j’ai lu que j’étais converti à l’islam. Le raccourci est super rapide !" explique l'ancien international qui dit ne pas avoir de problème avec la communauté juive.

Dans la suite de l'interview, Anelka attaque : "Qui décide que la quenelle est antisémite et raciste, à part l’inventeur de ce geste ? Ce n’est pas à la Licra de le décider mais à celui qui l’a inventé ! Quand on demande à Dieudo, il dit clairement que non". Il ajoute : "sous prétexte que quelques personnes ont reproduit ce geste devant une synagogue, alors ce geste devient automatiquement antisémite et raciste dans n’importe quel endroit et n’importe quelle situation ? Désolé mais je n’avale pas. J’essaie d’avaler mais ça ne descend pas !". 

Lu sur Metronews

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