Mort d'un collégien après la vaccination contre le papillomavirus : « Pas de dysfonctionnement » selon l’ARS<!-- --> | Atlantico.fr
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En France, 37% des filles sont vaccinées contre le papillomavirus
En France, 37% des filles sont vaccinées contre le papillomavirus
©YURI CORTEZ / AFP

Enquête

Une enquête administrative ouverte par l’ARS fin octobre suite au décès d’un collégien qui s’était fait vacciner 15 minutes plus tôt contre le papillomavirus n'a pas relevé de « dysfonctionnement sur l'organisation de la campagne de vaccination ».

« L'enquête ne relève pas de dysfonctionnement sur l'organisation de la campagne de vaccination, sur la préparation du Centre fédératif prévention dépistage (CFPD 44), (...) ou sur le circuit de distribution et de mise à disposition des vaccins qui aurait été la cause de l'accident ayant conduit au décès du jeune garçon », indique l'ARS des Pays de la Loire dans un communiqué.

Fin octobre, un élève de 5e du collège Saint-Dominique à Saint-Herblain près de Nantes (Loire-Atlantique), avait fait un malaise puis une « chute lourde » qui avait provoqué un traumatisme crânien 15 minutes après avoir été vacciné. Hospitalisé au CHU de Nantes, l'adolescent est décédé les jours suivants. 

« Des éléments doivent néanmoins encore être approfondis sur les conditions de déclenchement des secours et de prise en charge du jeune garçon après sa chute », ajoute cependant l'ARS

Le parquet de Nantes avait de son côté ouvert une enquête pour homicide involontaire. L'autopsie a confirmé que « le décès du jeune homme est consécutif à un traumatisme crânio-cérébral », avait révélé le procureur de la République de Nantes Renaud Gaudeul. « Nous ne disposons aujourd'hui d'aucun élément permettant d'indiquer que le produit vaccinal lui-même est à l'origine du décès », a-t-il ajouté.

Le Figaro

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