Mike Pence officialise son entrée dans la course à la Maison Blanche<!-- --> | Atlantico.fr
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L'ancien vice-président a officialisé sa candidature. Face à Donald Trump et au gouverneur de Floride Ron DeSantis, tous deux candidats à l'investiture républicaine, Mike Pence a peu de chances de l'emporter.
L'ancien vice-président a officialisé sa candidature. Face à Donald Trump et au gouverneur de Floride Ron DeSantis, tous deux candidats à l'investiture républicaine, Mike Pence a peu de chances de l'emporter.
©Scott Eisen / GETTY IMAGES NORTH AMERICA / Getty Images via AFP

Candidature

L'ancien vice-président a officialisé sa candidature. Face à Donald Trump et au gouverneur de Floride Ron DeSantis, tous deux candidats à l'investiture républicaine, Mike Pence a peu de chances de l'emporter.

L'ancien vice-président américain Mike Pence a lancé officiellement ce mercredi sa campagne de candidature à la Maison Blanche, briguant l'investiture républicaine aux primaires de 2024 lors desquelles il sera confronté à son ancien patron Donald Trump. « Je crois en le peuple américain, et j'ai foi dans le fait que Dieu n'en a pas fini avec l'Amérique », déclare ce chrétien évangélique dans sa vidéo de lancement de campagne, publiée sur les réseaux sociaux.

Farouche opposant à l'avortement, Mike Pence avait aidé Donald Trump à conquérir la droite religieuse en étant son colistier lors de la campagne présidentielle de 2016. Après des années de loyauté indéfectible, il a changé de ton à la suite de l'assaut contre le Capitole, qui a ébranlé la démocratie américaine le 6 janvier 2021.

Ce jour-là, Mike Pence dirigeait, en tant que vice-président, la séance au Congrès, lors de laquelle les élus devaient certifier la victoire de Joe Biden à la présidentielle de 2020. Bien qu'il n'ait qu'un rôle protocolaire, Donald Trump avait insisté pour qu'il refuse de valider l'élection du démocrate. Le vice-président n'avait pas obtempéré, ce qui lui a valu une forte inimitié chez les partisans du milliardaire. Entrés par la force dans le Capitole, certains avaient appelé à « pendre » Mike Pence, qui avait dû se cacher à la hâte. Depuis, il a jugé que les mots du président avaient été « irresponsables » et l'avaient « mis en danger ».

Le Progrès

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