MH370 : un nouveau débris de l'avion découvert à la Réunion ?<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
International
MH370 : un nouveau débris de l'avion découvert à la Réunion ?
©Reuters

Non élucidé

Un habitant de l'île de La Réunion a remis jeudi aux gendarmes un nouvel objet pouvant provenir du mystérieux vol MH370, a-t-il indiqué dimanche à l'AFP.

Connaitra-t-on un jour le destin du vol 370 Malaysia Airlines, qui reliait Kuala Lumpur à Pékin avec 239 personnes à bord lorsqu'il a disparu, le 8 mars 2014 ? Selon les autorités malaisiennes, l'appareil s'est accidentellement abîmé dans le sud de l'océan Indien, où il a été détecté pour la dernière fois par des satellites, mais son épave n'a jamais été retrouvée.

Un habitant de l'île de la Réunion a remis jeudi aux gendarmes un objet pouvant provenir de cet avion, a-t-il indiqué à l'AFP ce dimanche. L'homme, Johnny Bègue, avait déjà découvert en juillet un morceau d'aile du Boeing disparu, qui reste à ce jour le seul débris identifié avec certitude provenant du vol MH370. Depuis, il a pris l'habitude d'inspecter le littoral de l'île. "Quand il y a du mauvais temps c'est là qu'il faut bien regarder, la mer rejette beaucoup de choses", explique-t-il.

Jeudi, c'est en faisant son footing qu'il a trouvé "un morceau d'à peu près 40 centimètres sur 20, de couleur grise en dessous avec une trace bleue dessus. La matière est en nid d'abeille, comme sur l'aile" du vol MH370 qu'il a trouvée il y a près de huit mois.

L'objet lui a paru suffisamment "intrigant" pour être remis à la Brigade de Gendarmerie des Transports aériens (BGTA). "Je n'ai plus de nouvelles depuis", indique-t-il.

Un autre morceau d'avion a été découvert il y a quelques jours près de la station balnéaire mozambicaine de Vilankulo (sud-est), située à environ 2.100 kilomètres de La Réunion. Ce débris va être examiné en Australie pour déterminer s'il s'agit d'une nouvelle pièce de cet appareil.

Lu dans Le Figaro

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !