Marseille : il meurt tué d'une rafale de Kalachnikov devant son fils de 9 ans<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Faits divers
Marseille : il meurt tué d'une rafale de Kalachnikov devant son fils de 9 ans
©

Violences

Il s'agit du quatrième règlement de compte dans les Bouches-du-Rhône depuis le début de l'année.

Depuis des années, la ville de Marseille est en proie aux violences. Malgré les visites ministérielles, malgré la multiplication des forces de l'ordre, malgré les moyens dépensés, les règlements de comptes se multiplient. Ainsi, un homme de 40 ans a été tué mardi d'une rafale de Kalachnikov dans les quartiers Nord de la cité phocéenne et ce sous les yeux de son fils de 9 ans,. Il s'agit du quatrième homicide par balles dans le département depuis le début de l'année.

Selon le parquet, l'individu a été pris pour cible sur un parking de la cité sensible de Val Plan, "dans des conditions particulièrement dangereuses pour les habitants". Il se trouvait au volant d'une voiture de location, lorsque deux hommes cagoulés et gantés ont mitraillé le pare-brise. Une vingtaine de tirs prenant pour cible la place du conducteur. Ce qui fait dire aux enquêteurs que cette exécution a été menée avec la précision d'un professionnel.

Criblé de balles de l'abdomen à la tête, l'homme est mort sur le coup, tandis que son fils se réfugiait derrière le siège, a expliqué à l'AFP le procureur de la République Brice Robin. "Cela relève du miracle qu'il n'ait pas été touché", a-t-il noté. Les auteurs du meurtre sont repartis dans une voiture volée, retrouvée incendiée peu après les faits à proximité des lieux du crime. Selon des témoins, ils ont ensuite pris la fuite en scooter, qu'ils ont abandonné un peu plus tard après un accident. L'enquête a été confiée à la brigade criminelle de la PJ.


Marseille: abattu d'une rafale de kalachnikov...par BFMTV

lu sur le Parisien.fr

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !