Marion Maréchal-Le Pen : l'identité de son vrai père dévoilée<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
France
Marion Maréchal-Le Pen : l'identité de son vrai père dévoilée
©Reuters

Je suis ton père

La députée FN du Vaucluse n'est pas la fille de Samuel Maréchal, l'ancien gendre de Jean-Marie Le Pen, mais du journaliste Roger Auque, révèle L'Express.

La vie publique a eu raison d'un secret de famille. Jeudi, le site de L'Express a révélé que le vrai père de Marion Maréchal-Le Pen n'est pas Samuel Maréchal, ancien directeur du Front national de la jeunesse, mais le journaliste Roger Auque, ancien otage au Liban. Une information livrée dans le livre de la journaliste Christine Clerc, à paraître le 18 novembre et intitulé "Les Conquérantes". 

On peut y lire : "Yann [sa mère] a été mariée une première fois. Séparée, en instance de divorce, elle a eu, confie-t-elle, 'une aventure' avec un journaliste. C'est ainsi qu'elle s'est trouvée enceinte de Marion. 'Marine, ma petite sœur a été son papa à l'accouchement. Elle m'a aidée à l'élever.'" Plus loin : "Marion avait deux ans quand sa mère a épousé Samuel Maréchal [...] [il] a reconnu la petite fille. Reconnaissante, Marion a tenu à prendre son nom. A quinze ans, elle a tout de même voulu connaître son véritable père, le journaliste, qu'elle revoit de temps en temps." 

"Ce père [...] que le livre ne nomme pas, s'appelle Roger Auque. Enlevé au Liban par le Hezbollah en 1987, il est détenu en otage près d'un an, avant de reprendre sa carrière de journaliste grand reporter. Pendant le quinquennat de Nicolas Sarkozy, il entame une nouvelle vie en étant nommé, en 2009, ambassadeur de France en Erythrée", raconte L'Express. Il attend aujourd'hui une nouvelle affectation, précise le site.

Lu sur L'Express

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !