Manuel Valls déclare sa flamme aux députés PS... et songe déjà à changer son slogan<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Politique
Manuel Valls déclare sa flamme aux députés PS... et songe déjà à changer son slogan
©Reuters

Préparatifs

"J'ai besoin de vous. Rien n'est gagné, je suis challenger... Mais je crois que nous pouvons gagner" a lancé l'ancien chef du gouvernement à quelque 150 parlementaires PS.

La journée de mardi a été bien remplie pour Manuel Valls. Après sa passation de pouvoir à Matignon, puis une longue intervention au journal télévisé de France 2, celui qui est désormais ex-Premier ministre a mobilisé ses troupes à 21 heures à la questure de l'Assemblée nationale, où étaient invités les parlementaires "qui ont envie". Selon son entourage, ils auraient été environ 150.

"Un nouveau chapitre s'ouvre", a lancé Manuel Valls après avoir adressé une première pensée au président de la République. "J'ai l'expérience et l'énergie. Rien n'est gagné, je suis challenger... Mais je crois que nous pouvons gagner. Je n'ai pas changé, j'ai une responsabilité de rassembler ma famille politique. J'ai besoin de vous".

Par ailleurs, l’ancien chef du gouvernement s’interrogerait sur le slogan de sa campagne, dévoilé lundi soir lors de l’annonce de sa démission : faire gagner tout ce qui nous rassemble". Comme le souligne BFMTV, la phrase a tout de même été largement moquée sur Twitter. Et selon les informations de RTL, ce slogan, trouvé dimanche lors d’une séance de brainstorming, pourrait bien ne pas durer très longtemps. Des membres de l’équipe présents à Evry lundi soir ont souhaité rappeler que le “Yes we can” qui avait fait gagner Barack Obama en 2008 n'était que “le troisième slogan de la campagne du président américain”, après deux premiers essais infructueux.

>>>> A LIRE AUSSI : Manuel Valls et la Suisse, une histoire familiale

Lu sur BFMTV

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !