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Mali : le groupe du jihadiste Belmokhtar revendique l'attentat qui a tué un soldat français
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Selon RTL, le ministère de la Défense, qui n'a pas encore confirmé l'information, considère cette information comme "probable, compte tenu du mode opératoire".

Le 14 juillet dernier, jour de fête nationale, un soldat français trouvait la mort au Mali. Il s'agissait du neuvième décès d'un militaire en exercice depuis le début de l'opération Serval dans le pays. Ce jeudi 17 juillet, l'attentat-suicide à l'origine de cette mort a été revendiqué par le groupe jihadiste Al-Mourabitoune, de l'Algérien Mokhtar Belmokhtar.

"Un jihadiste de notre groupe a réussi à faire exploser son véhicule piégé contre une unité des forces d'invasion dans la région d'Al-Moustarat" , tuant un soldat français et en blessant plusieurs autres dans la région de Gao (nord du Mali), a affirmé mercredi soir à l'agence de presse privée mauritanienne Alakhbar le porte-parole d'Al-Mourabitoune, Abou Aassim El-Mouhajir.

"L’attentat a été une réponse adressée aux Français qui prétendent avoir anéanti  les forces jihadistes et réussi l'opération Serval", affirme, selon RTL, le chargé de communication du groupe, dans un enregistrement dont Alakhbar a pris connaissance. Toujours selon la station de radio, les autorités françaises ne confirment pas l'information mais le ministère de la Défense considère cette piste comme "probable, compte tenu du mode opératoire". 

Comme le rappelle Les Echos, Mokhtar Belmokhtar est notamment responsable de la prise d’otages qui a débouché début 2013 sur la mort de 37 étrangers sur le site de production gazière d’In Amenas, dans le Sahara algérien. 

Lu sur RTL.fr

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