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Loi travail : Martinez (CGT) espère rassembler plus de monde mardi que le 31 mars
©Reuters/Charles Platiau

Tous ensemble, tous ensemble

"Nous étions 1,2 million dans toute la France. Là, ce sera pareil, avec un temps fort à Paris", promet le leader de la CGT dans une interview au Parisien.

Mardi, une journée de mobilisation nationale contre le projet de loi travail, avec un défilé unique à Paris, est organisé à l'appel de sept syndicats dont la CGT. Le leader de cette dernière, Philippe Martinez,  a accordé un entretien au Parisien - Aujourd'hui en France dans lequel il déclare espérer rassembler plus de monde mardi à Paris contre le projet de loi travail que le 31 mars. Ce jour-là, la journée de manifestations avait rassemblé près de 390.000 personnes dans 250 villes, selon les autorités, 1,2 million selon les organisateurs, rappelle-t-on.

"Il faut qu’on fasse plus fort que le 31 mars. Nous étions 1,2 million dans toute la France. Là ce sera pareil, avec un temps fort à Paris. Mais nous avons un problème avec les patrons de compagnies de cars, qui ne veulent pas mettre à disposition des cars pour les manifs", déclare-t-il.

Interrogé sur la "colère" des Français, il rappelle que "la grève, ce n’est pas Martinez qui la décrète. Il y a des assemblées générales, les salariés votent." Il admet que "les grèves pénalisent forcément tout le monde" mais explique "moi aussi, je suis touché par les bouchons. Oui, je me mets dans les pompes de ces gens, je ne vis pas dans ma bulle. Je discute avec eux. On a commencé par des manifestations, On en a fait une, deux, trois, quatre. On n’a pas été écoutés. Au bout d’un moment, les salariés s’agacent et font grève."

La CGT demande que le gouvernement "retire les cinq articles qui font la colonne vertébrale du texte", rappelle-t-il. "C’est-à-dire l’article 2, celui sur les plans de sauvegarde de l’emploi, notamment. Il y a aussi la question du référendum d’entreprise et celle de la médecine du travail."

Lu dans Le Parisien

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