Les djihadistes de l’Etat islamique, en Irak et en Syrie, qualifiés d’ennemis numéro un de l’Islam<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
International
Les djihadistes de l’Etat islamique, en Irak et en Syrie, qualifiés d’ennemis numéro un de l’Islam
©

Condamnation violente

Un haut responsable religieux saoudien a violemment dénoncé, ce mardi, les djihadistes de l’EI et d'Al-Qaïda, qu’il a qualifié "d'ennemis numéro un de l'islam".

Les djihadistes de l’Etat Islamique - accusés par la communauté internationale de persécuter Chrétiens d’Orient, minorités Yézidis et kurdes en Irak - ainsi que les membres d’Al-Quaïda, ont été qualifiés d'ennemi numéro de l’Islam ce mardi 8 août par un haut responsable musulman saoudien.

"Les idées d'extrémisme, de radicalisme et de terrorisme [...] n'ont rien à voir avec l'islam et [leurs auteurs] sont l'ennemi numéro un de l'islam", a ainsi affirmé, dans un communiqué, le grand mufti d’Arabie saoudite, un interprète de la loi musulmane, et l’un des plus hauts responsables religieux de ce royaume musulman sunnite. Une condamnation d’autant plus violente que le grand mufti a cité nommément l'Etat islamique en Irak et en Syrie ainsi qu'Al-Qaïda. Une prise de position qui reflète l'hostilité des milieux religieux en Arabie saoudite envers les djihadistes de l'EI, connus pour leur brutalité.

"Les musulmans sont les principales victimes de cet extrémisme, comme en témoignent les crimes perpétrés par le soit-disant EI, Al-Qaïda et les groupes qui leur sont liés", explique-t-il par ailleurs, en citant un verset du Coran appelant à tuer les auteurs d'actes préjudiciables à l'islam.

Déjà, en septembre 2013, le cheikh Abdul Aziz ibn Abdullah, avait condamné les violences contre les non-musulmans dans des pays musulmans, ainsi que les attaques sur des musulmans visés pour "apostasie", soit le fait de renoncer publiquement à sa religion.

Lu sur Romandie.com

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !