Législatives : NKM critique ses adversaires de droite<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Politique
Législatives : NKM critique ses adversaires de droite
©Reuters

La grande bataille

"La division et les dissidences sont la maladie sénile d'une partie des cadres de la droite parisienne", a-t-elle déclaré.

Le 11 juin prochain, 24 candidats s'affronteront dans la 2e circonscription de Paris au premier tour des élections législatives. Parmi eux, Nathalie Kosciusko-Morizet. Elle retrouvera notamment face à elle Henri Guaino et Jean-Pierre Lecoq, un candidat LR dissident. Dans les colonnes du Figaro, l'ex-ministre s'est donc inquiétée de l'éclatement des candidatures à droite. "La division et les dissidences sont la maladie sénile d'une partie des cadres de la droite parisienne. Elles nous font hélas perdre depuis 15 ans", a-t-elle déclaré.  

"Je soutiendrai les réformes indispensables d'où qu'elles viennent"

En outre, la députée sortante de l'Essonne est revenue sur la position de son parti concernant les législatives. "Il y a au sein de la droite et du centre deux positions : la première est celle d'un 'tout ou rien' qui rêve de revanche. Pour moi l'obstruction systématique nous fait perdre en crédibilité. Je soutiendrai les réformes indispensables d'où qu'elles viennent", a-t-elle expliqué au Figaro.

>>> À lire aussi : Comment meurent les partis : les sévères claques à venir aux législatives signifient-elles vraiment que les partis concernés sont voués à la disparition ?

"On peut être de droite et du centre et s'inscrire aussi dans une démarche constructive à l'égard du gouvernement". "On a perdu cinq ans avec François Hollande. Il ne faut pas qu'on perde les cinq ans qui viennent. Il faut sortir des vieilles querelles habituelles", a-t-elle ajouté. Toutefois, elle a précisé qu'elle ne va pas "donner un blanc-seing au gouvernement". "Mais je crois que nous pourrons travailler ensemble sur des mesures précises qui devront être définies", a-t-elle indiqué. 

Lu sur Europe 1

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !