Le meurtre de la petite Lola provoque une polémique politique<!-- --> | Atlantico.fr
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©STRINGER / AFP

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Droite et RN mettent en cause ce qui serait la «responsabilité» du gouvernement

 Quatre jours après la découverte du corps de Ola, l’adolescente de 12 ans tuée à Paris par une suspecte algérienne en situation irrégulière, Marine Le Pen a interpellé la Première ministre sur Lola lors des questions au gouvernement hier mardi écrit Le Parisien.

« Une fois de plus, le suspect n’aurait pas dû être sur notre territoire et ce, depuis plus de trois ans. C’est la fois de trop » a attaqué la présidente du groupe RN qui a poursuivi : « Vous ne pourrez pas évacuer le sujet en criant à la récupération. » « Un peu de décence, et respectez la douleur de la famille », lui répond sobrement Élisabeth Borne alors que l’Élysée a fait savoir un peu plus tôt que les parents de Lola avaient été reçus dans la journée par le président de la République afin de les assurer de « sa solidarité et de son soutien ».

Contrôlée le 21 août à l’aéroport d’Orly, Dahbia B., venue en France comme étudiante, ne disposait plus d’aucun titre de séjour ni billet d’avion. Elle avait alors fait l’objet d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF).

Le député LR Éric Pauget, soutien d’Éric Ciotti dans la course à la présidence des Républicains, a accusé très durement le gouvernement : « Le défaut d’exécution de cette décision de justice [l’OQTF] rend votre ministère responsable de ce drame », a pointé le parlementaire pour qui la place des « bourreaux » est « dans l’avion ou en prison ». 

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