Le Conseil d'Etat autorise le fichage des opinions politiques, convictions philosophiques et religieuses, avant le recrutement de fonctionnaires sur des postes sensibles<!-- --> | Atlantico.fr
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©Thomas COEX / AFP

Terrorisme

Les appartenances syndicales et les données de santé pourront aussi être enregistrées au nom de la sécurité publique ou de la sûreté de l’Etat

La police et la gendarmerie pourront ficher les opinions politiques, les appartenances syndicales et les données de santé au nom de la sécurité publique ou de la sûreté de l’Etat, a jugé en référé, lundi 4 janvier, le Conseil d’Etat, en rejetant les requêtes des organisations syndicaless CGT, FO, FSU et des associations de défense des droits humains qui dénonçaient la grande « dangerosité » de ces fichiers indique Le Monde.

Les décrets portent sur trois fichiers, le PASP (prévention des atteintes à la sécurité publique) de la police ; le Gipasp (gestion de l’information et prévention des atteintes à la sécurité publique) des gendarmes et l’EASP (enquêtes administratives liées à la sécurité publique). Ils élargissent par ailleurs l’accès des données aux procureurs ou aux agents de renseignement « dans la limite du besoin d’en connaître » précise Le Monde.

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