Julian Assange : la justice suédoise classe une partie de l'affaire pour cause de prescription<!-- --> | Atlantico.fr
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Julian Assange
Julian Assange
©Reuters

Justice

Le fondateur de Wikileaks, toujours cloîtré à l'ambassade d'Equateur à Londres, doit cependant toujours face face à une affaire de viol.

L'horizon de Julian Assange s'éclaircit un peu.  Le fondateur de WikiLeaks ne devra pas répondre des faits d'agression sexuelle reprochés par une plaignante suédoise, puisque ces derniers sont désormais prescrits. C'est le parquet qui l'a annoncé dans un communiqué publié ce jeudi.

"Maintenant qu'intervient la prescription pour certaines des infractions je suis obligée de classer sans suite une partie de l'enquête", a souligné la procureure chargée de l'affaire Marianne Ny.

Mais cela ne signifie pas la fin des ennuis pour l'Australien, qui doit encore répondre d'une accusation de viol. La prescription pour cette accusation n'interviendra qu'en 2020.

Depuis le début de cette affaire où s'entremêlent espionnage, politique, Julian Assange clame son innocence, affirmant que les relations sexuelles étaient consenties. L'accusation lui demande de se rendre en Suède pour être entendu par la justice, mais lui réclame une audition par vidéoconférence, ou même à Londres.

S'il va en Suède, Julian Assange redoute d'être ensuite extradé vers les États-Unis, où il pourrait se voir condamner pour la publication par WikiLeaks en 2010de centaines de milliers de documents et communications diplomatiques.

Depuis juin 2012, le fondateur de Wikileaks est cloître entrait dans l'ambassade de l'Equateur à Londres, le pays sud-américain lui ayant accordé l'asile politique. 

Lu sur Le Figaro

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