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Jean-François Copé :"Si j'avais été mis en examen, je n'aurais pas été candidat à la primaire"
©Reuters

Les réactions de la matinée

Si Alstom est dans toutes les bouches, le parfum de la primaire de la droite et du centre se fait sentir toujours plus fort dans les réactions de la matinée.

Arnaud Montebourg : "Je demande que le gouvernement revienne sur ces décisions, et que le site de Belfort soit maintenu en l'état" a déclaré le candidat de gauche sur France Inter. "Nous ne laisserons pas faire" a-t-il souligné, pointant du doigt la responsabilité d'Alstom et ses stratégies externalistes.

Eric Woerth : Je ne souhaite pas l'élection de Monsieur Trump", a déclaré l'ancien ministre sur France Info. "C'est probablement un grand danger pour les Etats-Unis mais aussi pour le monde" soulignant que Marine Le Pen "ressemble un peu à Trump." Nicolas Sarkozy a lui davantage divergé à porpos du candidat américain, saluant d'abord sa nomination avant de revenir en arrière.

Hervé Mariton :  "Je suis la surprise de cette primaire, je serai peut-être la surprise de l’élection présidentielle elle-même", affirme le député Républicain, qualifié in extremis pour la primaire. Malgré ses attaques successives contre ses rivaux, il a néanmoins promis de se ranger derrière le vainqueur de novembre prochain. "Les primaires vont permettre d’avoir un seul candidat au premier tour, sinon il y a un risque d’élimination du fait de la force du Front national" rappelle-t-il.

Jean-François Copé : "Je veux un tournant sécuritaire. Notre pays est à un niveau de vulnérabilité que nos responsables ne veulent pas voir" affirme sur RMC le maire de Meaux qui propose de "rétablir un service national obligatoire de 6 mois pour les filles et les garçons." Il s'est aussi défendu de toute implication dans l'affaire Bygmalion. "Si j'avais eu les moyens de savoir, bien sûr que j'aurais immédiatement fait arrêter" les dépassements, souligne-t-il. Et pas de pitié pour Nicolas Sarkozy : "Si j'avais été mis en examen, je n'aurais pas été candidat à la primaire. C'est mon éthique."

Nicolas Dupont-Aignan : "la primaire va dégoûter encore un peu plus les Français" explique-t-il sur le plateau de l'Opinion, jugeant les candidats "frelatés" à commencer par Nicolas Sarkozy : "Nous sommes dans la seule démocratie au monde où des gens qui ont échoué peuvent revenir."

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