Inflation : Michel-Edouard Leclerc alerte sur le prix des jouets qui seront « plus chers » à Noël<!-- --> | Atlantico.fr
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La grande distribution va tenter de limiter la hausse des prix pour préserver les consommateurs et le pouvoir d’achat lors de la période de Noël malgré la crainte de l'inflation.
La grande distribution va tenter de limiter la hausse des prix pour préserver les consommateurs et le pouvoir d’achat lors de la période de Noël malgré la crainte de l'inflation.
©ERIC PIERMONT / AFP

Pouvoir d'achat

Michel-Edouard Leclerc s’est récemment confié sur l’inflation et sur les craintes pour la période de Noël.

L’incertitude demeure sur le plan économique pour la période des fêtes de fin d’année et sur les conséquences économiques de l’inflation. La grande distribution va tenter de limiter la hausse des prix pour préserver les consommateurs et le pouvoir d’achat. Interrogé sur BFMTV, Michel-Edouard Leclerc a évoqué l’enjeu des prix pour la période de Noël : 

« Ca va coûter plus cher d’offrir des jouets à ses enfants ». 

Parmi les différents facteurs de la hausse des prix, il a notamment évoqué la hausse des coûts de transports, l’industrie française dans le domaine étant loin de satisfaire la demande nationale.

Michel-Edouard Leclerc a expliqué qu’il va rogner sur certaines marges pour préserver une partie du pouvoir d’achat de ses clients et ne pas les perdre par la suite :

« On va compenser un certain nombre de hausses sur des chocolats, des confiseries, parce qu’on veut ne pas perdre nos clients en janvier ».

Michel-Edouard Leclerc s’est confié sur ce contexte économique délicat et sur la colère des Français face à la hausse des prix : 

« Tout le monde va faire la fête à Noël. Tout le monde va gueuler que c’est cher. Et ce sera cher. Mais c’est à partir de janvier que j’anticipe une vraie récession. Les grandes marques plafonnent, elles sont devenues trop chères, les marques de distributeurs explosent, et maintenant il y a beaucoup de marques premier prix. Il y a une sorte de paupérisation du mode de consommation. C’est un signe qu’on rentre dans une crise ».

Le Parisien

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