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Île-de-France : les salariés sont sous pression mais satisfaits
©Alex E. Proimos

Travail

La qualité de vie au travail des Franciliens n'est que légèrement inférieure à la moyenne nationale, selon une étude de Malakoff.

Deux Franciliens sur trois pensent que leur qualité de vie au travail est bonne, selon une étude sur la santé et qualité de vie au travail publiée par Malakoff. Cette affirmation est inférieure de quatre points par rapport à la moyenne nationale. Cependant, 86 % des Franciliens estiment que leur région est dynamique, un pourcentage largement supérieur à la France en général, avec 68 %.

Par ailleurs, ce dynamisme a un prix : la pression est plus forte. Ainsi, 40 % des salariés Franciliens interrogés déclarent avoir des difficultés à concilier vie privée et vie professionnelle, soit quatre points de plus que la moyenne nationale.

Depuis le début des études menées par Malakoff Médéric en 2008, ce critère a connu une forte évolution. En effet, en 2010, les salariés franciliens n'étaient ainsi que 30 % à avoir des difficultés à concilier vie privée et vie publique.

Des transports impactent la qualité de vie au travail

En ce qui concerne les transports, 57 % des Franciliens passent plus d'une heure dans les transports en commun, contre 35 % pour la moyenne des Français. 

Le temps de trajet passé dans les transports impacte nécessairement la qualité de vie au travail et sur la bonne image de sa vie au quotidien. D'une manière générale, les Franciliens ne sont ainsi que 69 % à penser qu'il fait bon vivre dans leur région, contre 82 % au niveau national.

L'étude a été menée auprès de 784 salariés en Île-de-France et 3 500 au niveau national. 

Lu sur Les Echos

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