Grèce : Alexis Tsipras affirme ne pas vouloir de "rupture désastreuse" avec l'UE<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
International
Grèce : Alexis Tsipras affirme ne pas vouloir de "rupture désastreuse" avec l'UE
©

Idée fixe

Le nouveau premier ministre grec a fixé ce mercredi les priorités à son gouvernement. La première : "une renégociation de la dette avec nos partenaires" a-t-il asséné.

Après les joies de la victoire, c'est l'heure de mettre son gouvernement en ordre de marche pour Alexis Tsipras. Le nouveau premier ministre grec a affirmé ce mercredi être prêt à "verser son sang" pour son peuple mais a expliqué qu'il ne voulait pas d'"une rupture désastreuse" avec l'UE ajoutant qu'il fallait retrouver "la dignité des Grecs". 

Le chef du gouvernement a par ailleurs répété qu'il exigeait une renégociation de la dette du pays. "Parmi nos priorités figure une nouvelle renégociation avec nos partenaires pour trouver une solution juste, viable et mutuellement utile" a-t-il indiqué. Dans le même temps, le leader de Syriza a commencé à appliquer ses promesses de campagne à savoir : l'arrêt de la privatisation du port du Pirée et l'arrêt de celle de la compagnie nationale d'électricité, DEI.

Le gouvernement Tsipras a également l'intention de faire passer très vite une loi destinée à améliorer le niveau de vie des Grecs, notamment en relevant le salaire minimum.

Lors de cette réunion avec les ministres Tsipras a confirmé qu'il recevrait Martin Schulz, le président du Parlement européen, jeudi et Jeroen Dijsselbloem, le président de l'Eurogroupe, ministre des Finances de la zone euro, vendredi. Enfin de son côté, François Hollande a invité le nouveau Premier ministre grec à se rendre à Paris avant le prochain Conseil européen, prévu le 12 février. 

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !