Germanwings : Andreas Lubitz s'était entraîné à descendre lors du vol aller entre Düsseldorf et Barcelone<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
International
Germanwings : Andreas Lubitz s'était entraîné à descendre lors du vol aller entre Düsseldorf et Barcelone
©Capture d'écran

Nouvelles révélations

Le jour-même du drame, le copilote aurait entamé cette descente qui ne présentait "aucune justification aéronautique".

Nouvelle révélations dans le crash de la Germanwings. Selon le très populaire quotidien Bild, Andreas Lubitz s'était entraîné à la descente sur le vol aller, entre Düsseldorf et Barcelone. Le copilote de la compagnie aérienne allemande, filliale low-cost de la Lufthansa, est fortement soupçonné d'avoir fait s'écraser l'avion dans les Alpes françaises le 24 mars dernier, lors du trajet entre Barcelone et Düsseldorf, causant la mort de 150 passagers.

Les révélations du magazine allemand s’appuient sur un rapport du BEA (Bureau d'enquêtes et d'analyses), qui doit être publié ce mercredi. Selon les auteurs du rapport, le copilote a effectué, au cours du trajet Düsseldorf-Barcelone, le jour-même de la catastrophe, une "descente contrôlée qui a duré plusieurs minutes et pour laquelle il n'y avait aucune justification aéronautique".

"Il n'est pas à exclure que le copilote ne voulait pas seulement faire une tentative de faire s'écraser l'avion lors du vol aller, mais voulait aussi concrétiser son acte", estime Bild.

L'enquête en Allemagne aurait confirmé que Andreas Lubitz était sujet à de graves dépressions. Les policiers ont découvert un ordinateur à son domicile, dévoilant qu'il avait effectué une recherche sur internet concernant les différents moyens de se suicider lors des jours précédant le drame.

Des feuilles d'arrêt- maladie déchirées ont également été récupérés à son domicile. Elles montrent qu'il n'aurait pas dû être autorisé à voler le 24 mars dernier.

Lu sur l'Obs

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !