François Hollande affirme avoir "fait des choix majeurs pour la France" depuis un an<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
France
Presque un an après son élection, le chef de l'Etat défend "ses choix majeurs pour la France".
Presque un an après son élection, le chef de l'Etat défend "ses choix majeurs pour la France".
©Reuters

Auto bilan

Dans une interview accordée il y a dix jours aux agences de presse, et diffusée ce dimanche à la demande de l'Elysée, président revient sur ces douze mois semées "d'épreuves".

Presque un an après l'élection de François Hollande, l'heure est au bilan. Dans une interview accordée il y a dix jours aux agences de presse, et diffusée ce dimanche, le président de la République revient sur ces douze mois semées "d'épreuves". "Il y affirme vouloir maintenir le cap de son action à la tête d'un pays au bord de la récession, traversé également par une crise morale et sociétale", résume Le Figaro.

Le chef de l'Etat revient d'abord sur le début de son mandat et explique que son élection s'inscrit dans un contexte de crise particulièrement difficile à gérer : "J'ai accédé à la présidence de la République dans une période exceptionnelle. Exceptionnelle au plan économique : une crise longue, une récession en Europe, un chômage à un niveau historique. Exceptionnelle parce que j'ai été amené à engager la France au Mali. Exceptionnelle parce que le populisme s'est installé, pas seulement en France, mais partout en Europe", énumère-t-il.

Dans ce contexte, le président estime que les critiques sont peu justifiées : "S'il y a un reproche qui m'est apparu totalement inapproprié, c'est celui de ma prétendue indécision. On peut critiquer mes décisions (...) mais s'il y a une chose dont je suis sûr c'est que depuis un an, j'ai fait des choix majeurs pour la France", dit-il.

Et de citer notamment "le pacte de compétitivité" (un crédit d'impôt de 20 milliards d'euros pour les entreprises), "la réforme du marché du travail" à la suite d'un accord entre patronat et syndicats ou la politique de "sérieux budgétaire", même si les objectifs de réduction des déficits ne seront pas atteints cette année.

Lu sur Le Figaro

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !