François Hollande à Cuba : après les critiques de l'UMP sur sa rencontre avec Fidel Castro, le président répond <!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Politique
Unee poignée de main historique
Unee poignée de main historique
©Reuters

Historique

L'UMP évoque une "faute morale", le président explique : "Je ne pouvais venir à Cuba et ignorer l'histoire".

La rencontre entre François Hollande et Fidel Castro, si elle a été une surprise, a depuis hier fait beaucoup réagir en France, notamment dans l'opposition. L'UMP a en effet, fustigé une "faute morale" avant de dénoncer la "complaisance" à l'égard du régime cubain. De son côté, le président de la République avait affirmé suite à cette rencontre avec le "Lider Maximo" de lundi soir : “J’avais devant moi un homme qui a fait l’histoire".

A LIRE AUSSI : Cuba : la rencontre "historique" entre François Hollande et Fidel Castro

Ce mardi, suite aux critiques de la droite, François Hollande a répondu : "Je ne pouvais venir à Cuba et ignorer l'histoire, les 40 ans de pouvoir de Fidel Castro", a rétorqué ce mardi François Hollande, depuis Haïti. "Soit on va à Cuba, soit on n'y va pas, c'est la seule question à se poser", a-t-il encore ajouté. Enfin, le Président a également affirmé que sa visite à Fidel Castro n'a en aucun cas constitué "un blanc-seing". Au contraire, toujours ses dires: elle devrait "permettre une nouvelle étape".

Pour clôturer sa tournée caribéenne, François Hollande était donc à Haïti ce mardi. Répondant à Michel Martelly qui a appelé la France à mettre en œuvre "un véritable plan Marshall pour l'éducation", François Hollande a confirmé que "la France apportera son soutien à une modernisation du système éducatif haïtien". Le président français a également annoncé : "Parce que nous voulons que tous les jeunes Haïtiens puissent être formés, scolarisés, accompagnés, suivis, parce que c’est leur droit le plus élémentaire et parce que c’est notre devoir".

Lu sur BFM

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !