Frais de taxis : Agnès Saal, l'ancienne présidente de l'Ina, en garde à vue <!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
France
Agnès Saal
Agnès Saal
©madameoumadame.fr

Et c'est reparti

L'audition a été menée ce mardi de 9h à 15h par les enquêteurs de la brigade de répression de la délinquance économique (BRDE) de la police judiciaire parisienne, selon des informations d'Europe 1.

Les ennuis ne sont pas terminés pour Agnès Saal. L'ancienne directrice de l'INA a été entendu en garde à vue ce mardi, selon des informations de la radio Europe 1. L'audition a été menée de 9 heures à 15 heures par  les enquêteurs de la brigade de répression de la délinquance économique (BRDE) de la police judiciaire parisienne, dans le cadre de deux enquêtes préliminaires ouvertes par le parquet de Paris et de Créteil.

L'enquête porte sur l'affaire des notes de taxis alors qu'elle était à la tête de l'INA et du Centre Pompidou. En moins d'un an, elle aurait dépensé environ 40.000 euros de taxis. 7.000 aurait été imputable à son fils qui disposait d'un code de réservation. Ces révélations avaient poussé Agnès Saal a la démission, bien qu'elle ait précisé avoir remboursé les frais concernant son fils et les déplacements privés.

Réintégré au ministère de la Culture en tant que chargée de mission, Agnès Saal est pourtant dans le viseur de ce même ministère.  Europe 1 précise que Fleur Pellerin, ministre de la Culture, a indiqué qu'une enquête administrative était en cours concernant Agnès Saal, précisant que "l'échelle des sanctions" allait "du blâme ou de l'avertissement jusqu'à la radiation de la fonction publique.

Lu sur Europe1

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !