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En meeting dans l'Oise, François Fillon insiste sur la sécurité
©AFP

Prise de parole

L’ancien Premier ministre a notamment confirmé son souhait de fixer la majorité pénale à 16 ans.

Un meeting pour relancer la machine. Mercredi soir, François Fillon était à Compiègne, dans l'Oise, où il a abordé différentes thématiques. Xavier Bertrand a d'abord pris la parole en introduction, déclarant qu'il allait falloir "faire campagne matin, midi et soir" car "personne d'autre que François Fillon n'a de légitimité". "Ce qui est cause, c'est le statut de la France" a poursuivi le président de la région Hauts-de-France. "Nous avons 69 jours pour sauvegarder la Ve République, qui donne de la stabilité à notre pays. C'est maintenant ou jamais" a-t-il martelé avant de laisser le micro au candidat des Républicains, qui a notamment insisté sur la sécurité. Un thème central alors que l'actualité des derniers jours a été fortement marquée par les suites de "l'affaire Théo" et les débordements recensées dans plusieurs villes de banlieue parisienne.

"Président de la République, je soutiendrai les policiers", a lancé François Fillon devant 2000 personnes (selon les estimations du compte Twitter Fillon 2017).

Le candidat a multiplié les attaques contre Emmanuel Macron, symbole d'une "gauche branchée" et "sans programme".

L'ancien Premier ministre est revenu sur ses promesses de réformer l'Assurance maladie. "Je veux une santé capable de répondre au vieillissement de la population et aux couts des médicaments" a-t-il annoncé, dénonçant "l'irresponsabilité de ceux qui prétendent que tout va bien". "Soyez fiers de ce beau nom de France" a-t-il déclaré en conclusion avant d'entonner une Marseillaise.

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