Élections régionales : le FN donné en tête au premier tour, suivi de près par la gauche <!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Politique
Le Front national cumule 27 % des intentions de vote.
Le Front national cumule 27 % des intentions de vote.
©Reuters

Sondage

Selon une enquête d'Harris Interactive pour 20 Minutes, moins d’un Français sur deux déclarant voter au 1er tour jugent que les attaques du 13 novembre vont influencer leur choix.

Une semaine après les attentats meurtriers qui ont frappé la capitale, la campagne pour les élections régionales reprend progressivement son cours, et le bain de sang provoqué par l'Etat islamique ne semblent pas influencer les français dans leur vote pour le premier tour des élections des 6 et 13 décembre.

>>>>> RETROUVEZ NOTRE DOSSIER COMPLET SUR LES ATTENTATS DE PARIS

D'après un sondage réalisé par Harris Interactive pour 20 Minutes, moins d’un Français sur deux (43 %) déclarant voter au 1er tour jugent que les attaques du 13 novembre vont influencer leur choix. Seulement un sondé sur quatre estime que les attaques joueront "beaucoup" (26 %).

"Il n’y a pas aujourd’hui, quand on interroge les Français, d’articulation immédiate entre cette situation de tensions et un comportement électoral", explique Jean-Daniel Lévy, directeur du département "Politique et Opinion" d’Harris Interactive, cité par 20 Minutes.

Selon les résultats de cette enquête, le Front national cumule 27 % des intentions de vote, suivi de près par le Parti socialiste-Parti radical de gauche (26 %), lui-même talonné par Les Républicains-UDI-MoDem (25 %). Viennent ensuite les listes d’Europe-Ecologie-Les Verts (7 %) le Front de Gauche-Parti communiste (5 %) à égalité avec le parti souverainiste Debout la France.

Lu sur 20 Minutes

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !