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Débat socialiste :
match nul ?
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A fleurets mouchetés

Les candidats socialistes ont attendu la fin du débat pour échanger des piques plutôt gentilles.

Le premier débat télévisé des candidats à la primaire socialiste a-t-il un vainqueur ? Pas sûr, à en croire les premières analyses des échanges entre les six prétendants à l'investiture. Le Monde s'étonne même que Ségolène Royal, qui "devait bousculer ses rivaux pour changer le rapport de forces, [...] a finalement peu joué les trouble-fêtes durant ce débat."

Soucieuse de maintenir les apparences de l'unité, Martine Aubry a attendu les dernières minutes du débat pour dégainer contre son principal rival dans le sondages, François Hollande. La maire de Lille a pris pour cible sa volonté de revenir à l'équilibre budgétaire en 2017, qualifiée d'"irresponsable". Elle a aussi critiqué son projet de 300 000 emplois d'avenir, tout en rappelant que, contrairement à lui, elle avait eu une réelle expérience ministérielle. François Hollande, a répliqué en laissant entendre que, contrairement à Martine Aubry, il avait eu l'intention de se présenter à l'élection bien avant la chute de Dominique Strauss-Kahn, insistant ainsi sur le manque de motivation supposé de sa rivale. 

D'humeur taquine, Le Figaro note que sur Twitter, la droite vote pour... Montebourg et Valls. "Les petits jeunes apportent une vraie fraîcheur au débat", estime le député UMP Lionel Tardy. "Valls est le plus sincère. Il est vraiment très bon", s'emballe le député -maire du Raincy, Eric Raoult. 

Lu sur Le Monde.fr

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